LA TERRE N'EST PAS UN GLOBE SELON L'ENSEIGNEMENT TRADITIONNEL CATHOLIQUE_PARTIE 4_par Elaine Cooke

Quatrième Video  CRUSHING THE HEAD OF SCIENCE FALSELY SO-CALLED

Bonjour. Ceci est la quatrième partie de « La Terre n'est pas un globe ; la forme de la terre selon les pères de l'église et les écritures ».



Par ces prières au Sacré-Cœur de Jésus, nous nous souvenons de la création et du fait que notre Seigneur habite en nous... extrait de la Litanie du Sacré-Cœur.
Saint temple de Dieu, Tabernacle du Très-Haut, Maison de Dieu et Porte du Ciel, Demeure de la Justice et de l'Amour, ayez pitié de nous !

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Dans le cadre de l'affaire Galilée, Francesco Ingoli, prêtre catholique italien, avocat et professeur de droit civil et de droit canon, a formulé des objections scientifiques et théologiques au copernicisme, dont voici les quatre.
La première est que la Genèse enseigne que le ciel est comme une tente et que le soleil et la lune sont des lumières.
Il s'agit donc d'une opposition au modèle copernicien d'un globe dans l'espace. Ces quatre objections sont donc considérées comme des objections théologiques parce qu'elles nient la foi.
Dans la seconde, Bellarmin soutient que l'enfer se trouve au point le plus bas de la Terre et de l'univers, ce qui correspond au modèle géocentrique de la Terre plate.
Ces arguments, ainsi que d'autres concernant le mouvement de la Terre et l'immobilité du Soleil, montrent qu'à l'origine, Bellarmin n'essayait pas de dicter la science, mais qu'il défendait la foi.



Il s'agit de l'une des preuves les plus accablantes contre le globe. Nous allons lire la diapositive.
Tout d'abord, Inchofer.
Les points clés de la procédure contre Galilée page 228 du livre, brûlé vif, par AA Martinez, ce qui a été dit, le jugement et le décret de la Sacrée Congrégation construit sur l'autorité du Souverain Pontife, nous avons ceci sur l'opinion néo-pythagoricienne, « elle est fausse “ en premier lieu, ” et entièrement opposée à l'Écriture Divine se glissant pernicieusement dans la vérité Catholique ». Ensuite, « elle répugne aux Saintes Écritures et à la véritable interprétation catholique, (pour être) minimalement tolérée chez un homme chrétien “ et enfin ” totalement interdite ».

L'Église déclare l'opinion pythagoricienne fausse et entièrement opposée à l'Écriture divine, comme pour l'imprimer dans l'esprit des fidèles. Elle dit qu'elle est répugnante à l'égard des Saintes Écritures dans la véritable interprétation catholique et qu'elle doit être tolérée de façon minimale chez un homme chrétien et finalement même totalement interdite. Les autorités ne retiennent pas le globe ou ne le gardent pas pour une protection spéciale, elles qualifient la doctrine de répugnante pour les Écritures et la véritable interprétation catholique, ce qui signifie qu'elles croient que la Terre est plate et qu'elle est comparée au Tabernacle de l'Ancien Testament.
Elle a été déclarée totalement interdite.
Il n'y a donc aucune raison de conserver le globe.



C'est assez ennuyeux. J'ai trouvé ceci en ligne, quand l'église a-t-elle accepté l'héliocentrisme ?
Il s'agit d'une question posée par l'Université de New-York, et la réponse, datant de 2013, est la suivante : «  Quand il le fallait », ce qui s'est avéré être selon eux en 1822. Pendant des siècles, l'héliocentrisme est devenu un champ de bataille pour différentes religions et factions religieuses. Ce genre de croyances est donc omniprésent sur Internet. C'est vraiment triste.



En voici une autre. Les pères de l'Eglise pensaient-ils que la Terre était plate ? Le chimiste américain John William Draper a écrit une histoire du conflit entre la religion et la science, en utilisant l'affirmation selon laquelle les premiers pères de l'Église pensaient que la Terre était plate comme preuve de l'hostilité de l'Église à l'égard des progrès de la science.
Il s'agit d'une notion courante, non seulement de la part des ennemis de l'Église, mais aussi de ses propres membres, selon laquelle les pères de l'Église étaient hostiles à la preuve scientifique dans le cadre des progrès de la science.
Rien n'est plus faux. Dans les parties précédentes de ce documentaire, il a été démontré que les Pères de l'Église n'étaient nullement opposés à la science ou à ses progrès.
Ils ont simplement défendu les écritures et la tradition et maintenu la vérité dans la science.




Ici, nous avons un exemple de catholiques qui se détournent de la vérité_ tout catholique digne de ce nom devrait se rendre compte que la science moderne avait une connaissance défectueuse de la géographie avant même que saint Augustin ne le fasse.
Pourtant, le Globe païen a abruti l'esprit des catholiques au point que nombre d'entre eux nient les pères de l'Écriture en faveur de leur croyance dans le scientisme moderne.
L'encyclopédie catholique dit ceci : « L'opinion contre les antipodes de saint Augustin était communément répandue jusqu'à ce que les progrès de la science, tout en confirmant sa thèse principale selon laquelle la race humaine est une, dissipent les scrupules découlant d'une connaissance défectueuse de la géographie ».
Merci, Encyclopédie catholique!



Voici un autre type d'opposition : Maurice A. Finocchiaro.
Il dit : « Ces quatre derniers siècles ont également été témoins d'une série de tentatives de l'Eglise de défaire ses actions originales : la levée partielle de l'interdiction du Dialogue de Galilée et des livres coperniciens en général par le Pape Benoît 14 ; l'abrogation totale de l'interdiction du copernicisme ; la justification théologique implicite de l'herméneutique biblique de Galilée par le Pape Léon 13 dans l'encyclique Providentissimus Deus ; et la réhabilitation partielle, informelle et ambiguë de Galilée par le Pape Jean Paul II ».
Cette controverse n'est probablement pas près de s'éteindre. En témoigne l'encyclique "Laudato" Si du Pape François, publiée en 2015, qui met l'accent sur le changement climatique. Quels que soient ses mérites, on pourrait lui reprocher de ne pas avoir tiré de l'affaire Galilée la leçon selon laquelle l'Église doit se garder d'intervenir dans les questions scientifiques ».



C'est donc un non-sens et c'est très fatigant, puis l'Église ne peut pas revenir en arrière. Elle a fait des déclarations toute personne qui fait marche arrière commet d'énormes erreurs, et ce n'est pas tout. Il (le Pape François) déclare que Providentissimus Deus est comme un autre problème pour eux, alors qu'en fait nous allons l'apprendre tout de suite. L'encyclique se range du côté de Bellarmin et des papes et dit : « si une dissension devait surgir entre eux, voici la règle établie par Saint Augustin pour les théologiens : tout ce qu'ils peuvent réellement démontrer comme étant vrai de la nature physique, nous devons le montrer comme pouvant être réconcilié avec nos écritures ; et tout ce qu'ils affirment dans leurs traités qui est contraire à nos écritures, c'est-à-dire à la foi catholique, nous devons soit le prouver aussi bien que nous le pouvons comme étant entièrement faux, ou en tout cas nous devons, sans la moindre hésitation, le croire tel ».



Voici une autre réflexion sur « Providentissimus Deus » que je vais exprimer ici. Je vais faire preuve d'audace maintenant: il est absolument faux d'interdire, soit de restreindre l'inspiration à certaines parties de l'Écriture Sainte, soit d'admettre que l'auteur sacré s'est trompé. Quant au système de ceux qui, pour se débarrasser de ces difficultés, n'hésitent pas à concéder que l'inspiration divine porte sur les choses de la foi et de la morale, et rien au delà, c'est une fausse idée de l'Ecriture, que de lui faire affirmer qu'il ne faut pas considérer ce que Dieu dit, mais ce qu'il a pensé_ C'est un système qu'il ne faut pas tolérer.



Selon le pape Léon XIII. Et Vatican 1 interdit les doctrines condamnées.
Nous avons donc déjà une doctrine condamnée dans la doctrine pythagoricienne : la doctrine copernicienne.
En 1870, le premier Concile du Vatican, Canons et Décrets, chapitre 3, a déclaré infailliblement que « l'Église qui, avec la charge apostolique de l'enseignement, a reçu la charge de garder le dépôt de la foi, tient de Dieu le droit et le devoir de proscrire les fausses sciences, de peur que personne ne se laisse séduire par une philosophie et une vaine tromperie.C'est pourquoi il est non seulement interdit à tous les chrétiens de défendre comme des conclusions légitimes de la science, les opinions que l'on sait contraires aux doctrines de la foi, surtout si elles ont été condamnées par l'Église, mais ils sont tout à fait tenus de les considérer comme des erreurs qui revêtent l'apparence fallacieuse de la Vérité " .
.Manifestement, la seule chose condamnée en science par l'Eglise est la doctrine copernicienne, la doctrine pythagoricienne. Du moins en grande partie.




Maintenant nous détenons de l'ennemi_ à partir des protocoles alinea numéro deux : « Pour eux, qu'ils jouent le rôle principal que nous leur avons persuadé d'accepter comme les dictats de la science (théorie). c'est dans ce but que nous ne cessons, par le biais de notre presse, d'éveiller une confiance aveugle dans ces théories. Les intellectuels parmi les GOYIM (terme désobligeant pour ceux qui ne sont pas juifs, comme les Gentils ou les Chrétiens) se gonfleront de leurs connaissances et, sans aucune vérification logique, mettront en pratique toutes les informations scientifiques disponibles, que nos spécialistes AGENTUR (terme allemand pour agence) ont astucieusement rassemblées dans le but d'éduquer leurs esprits dans la direction que nous voulons... « (Protocoles (des Illuminati)... publiés en 1905, pp. 15-16.

Comme nous pouvons constater qui fait cela, il s'agit d'une entrée pour une enquête intéressante.




J'ai trouvé ceci sur internet et ils expliquent que la cosmologie newtonienne enlève le Telos (le but ou le sens) du cosmos pour le remplacer par une mécanique aveugle, et ainsi la montée de la mécanique dans l'ordre politique et social est montrée ci-dessous.
Dans le livre hermétique Le « kybalion », ce principe est appelé le principe de Correspondance (entre le Ciel et la Terre, ou, dans ce livre, entre les trois plans d'existence : spirituel, mental et physique). En d'autres termes, si vous changez les relations mentales des gens, vous changerez effectivement leurs relations physiques, donc la clé pour dominer la matière est l'esprit, c'est pourquoi les politiciens modernes parlent de « guerre idéologique » (guerre dans la sphère des idées, dans l'Esprit).
Cette transmutation alchimique du cosmos, qui est passé du statut de lieu de la divine providence de Dieu à celui de loi mécanique aveugle, a engendré le matérialisme, l'immoralité, l'apathie, le nihilisme, etc. Elle a également ouvert la voie au panthéisme, l'idée que le cosmos, l'univers, est lui-même Dieu.



Voici donc ce à quoi nous aboutissons.




Dans le livre « Earth Movers », on trouve cette citation : « Les deux penseurs les plus influents qui ont promu le géocentrisme sont Aristote et Ptolémée, qui ont tous deux enseigné que la Terre est une sphère ».
Aristote et Ptolémée n'avaient rien à voir avec la chrétienté et leur théorie de la sphère le reflète. De plus, comme le souligne Wikipédia : «  Ptolémée écrivait en grec et on peut démontrer qu'il a utilisé des données astronomiques babyloniennes" .

Ptolémée s'intéressait également à l'astrologie et à l'horoscope. Il ne s'agit donc pas d'une bonne influence.



La Terre sphérique contredit partout les Écritures. La théorie d'une Terre sphérique ne correspond pas aux Ecritures. Les traductions des Écritures disent que le firmament est étendu sur la Terre comme une tente, un dôme, un pavillon ou une voûte. Ces exemples tirés de la parole de Dieu sont destinés à évoquer une forme particulière incompatible avec un globe. Les tentes ou les dômes ne peuvent pas couvrir une sphère. L'Écriture dit que la Terre a des extrémités et des coins. Psaumes 48:10, ACT 1:8.
L'Écriture dit aussi que le monde est posé sur des piliers. Dans 1 Samuel 2 :8, l'Ecriture dit que la Terre est sa propre fondation. Psaumes 104 :5; Amos 9 :6, aucun globe dans l'espace n'a de fondation. Il n'y a pas non plus de description d'un globe posé sur des piliers dans les Ecritures. Par définition, une sphère n'a pas non plus d'extrémités ni de coins.
L'Écriture dit que toute l'eau a été divisée par Dieu dans la Genèse, il doit donc y avoir beaucoup d'eau maintenue par le firmament. En outre, selon les Pères, l'eau est conservée pour les pluies et les rosées. Pourtant, le modèle du globe prétend qu'il n'y a qu'un vide infini d'espace tout autour du globe, et peut-être un peu d'humidité près de la surface due à l'évaporation. Cette métaphore devenue science-fiction est manifestement exagérée. Les théoriciens du globe ne se donnent même pas la peine d'expliquer la nature du firmament qui retient l'eau au-dessus. Ils l'ignorent ou l'appellent « humidité » parce qu'elle ne correspond pas à leur discours.



Les Écritures décrivent la Terre comme un « sceau » sous l'empreinte de Dieu. Job 38:14. Un sceau s'étend à plat avec des hauts et des bas qui expriment des images de collines et de vallées sur un plan. Un sceau n'est jamais sphérique.
Les Ecritures décrivent la Terre comme ayant un visage Proverbes. 8:26 à 28. Lorsqu'il prépara les cieux, j'étais présent : Lorsqu'avec une certaine loi et un compas il enferma les profondeurs : Les sphères ne sont pas des cercles. Les sphères ne sont pas des cercles. L'utilisation d'un « compas » fait un cercle, pas une sphère.
Les Écritures nous disent que le Soleil, la Lune et les Etoiles indiquent les heures, les jours et les saisons, Genèse 1:14. Le Soleil, la Lune et les Étoiles agissent comme les aiguilles d'une horloge sur la face de la Terre. La face d'une horloge n'est jamais sphérique.
L'Ecriture dit que Dieu efface nos péchés « aussi loin que l'Orient est de l'Occident » Psaume 102 :12 qui montre la distance par un exemple d'opposés. Pourtant, l'Est et l'Ouest se rencontrent sur un globe.



À un moment donné, Psaume 93 :1 dit: « l'Éternel règne, il est revêtu de majesté ; le Seigneur est revêtu de la force dont il s'est ceint : le monde aussi est établi, de sorte qu'il ne peut être ébranlé ».
Et Samuel 2 : 8 « Il relève les pauvres de la poussière, et il élève le mendiant du fumier, pour les mettre parmi les princes et leur faire hériter du trône de gloire : car les colonnes de la terre sont à l'Éternel, et il a mis le monde sur eux ».
Les piliers et les fondations sont utilisés de manière interchangeable par les Pères, et correspondent à une boule de terre suspendue dans l'espace ou à un jet dans un univers imaginaire en expansion sans fin.



Et encore Katherine Emerich.
Elle est tellement intéressante. Elle nous raconte un fait qui s'est déroulé il y a bien longtemps : « Le fils ou petit-fils d'Enoch, ou son nom est encore « Hom » était d'une grande stature comme un géant, et d'une tournure d'esprit particulière, très sérieuse. Il portait une longue robe, il ressemblait à un prêtre. Il se rendait seul au sommet de la montagne et y séjournait nuit après nuit. Il observait les étoiles et pratiquait la magie. Le diable lui apprit alors à transformer ce qu'il voyait en vision, en une science, en une religion, et ainsi il vicia et contrecarra l'enseignement d'Enoch. Les mauvais penchants hérités de sa mère se mêlaient en lui aux purs enseignements héréditaires d'Enoch et de Noé auxquels les enfants de Thubal étaient fidèles. « Hom », par ses fausses visions et ses Révélations mal interprétées, a changé l'ancienne vérité. Il étudia, médita et observa les étoiles et eut des visions par lesquelles, par l'intermédiaire de Satan, lui furent montré des images déformées de la Vérité. Par leur ressemblance avec la vérité, sa doctrine et son idolâtrie sont devenues les mères de l'hérésie ».

Anne Katherine fait ici une affirmation étonnante en citant  "Hom" observant les étoiles, et ayant de fausses visions. "Hom" était l'agent de Satan lui montrant des images déformées de la Vérité. Le fait de nier les enseignements d’Enoch a eu pour conséquences le développement d'une doctrine scientifique idolâtre laquelle est devenue la mère de l’hérésie.

Cela suggère que l’hérésie s'imprègne tout au long des siècles et que, dans les temps modernes, nous en soyons arrivés à nier les Pères Catholiques de l’Église tout en permettant au scientisme de dicter ce que nous croyons. On peut présumer, dans l’hérésie biblique concernant la création, que certains Catholiques devenus tellement amoureux et adeptes de la science (devenue scientisme) dans le monde en sont venus à refuser d’y voir un problème.



Ici, nous avons été prévenus : les philosophies cosmiques païennes sont ancrées dans la civilisation moderne. Elles convergent vers une religion appelée scientisme, qui est une foi en la science ainsi qu'une forte croyance dans les théories humaines contraires à la Parole de Dieu. Le scientisme issu de la philosophie cabale (Kybalion) est la religion satanique du Nouvel Ordre Mondial basée sur la relativité doctrinale, le culte de la Terre et l'évolution. Saint Paul résume bien cela en ces termes : « Et ce n'est pas étonnant ; car Satan lui-même se transforme en ange de lumière. Ce n’est donc pas une grande chose si ses ministres se transforment également en ministres de justice ; dont la fin sera selon leurs œuvres » (Cor. 11 : 14-15). Et Jacques nous exhorte aussi : « Ne vous y trompez pas, mes frères bien-aimés » (Jacques 1 : 14).
Matthieu 24 : 24 nous met en garde : « faux christs et prophètes ».
Marc 13:22 plus : « avertissements des faux christs et des faux prophètes ».
Et 1Timothée 6 : 20 nous avertit : « Ô Timothée, garde ce qui est confié à ta confiance, en évitant les nouveautés profanes des mots et les oppositions de la science faussement appelée ».

Il semble encore plus urgent que les catholiques soient conscients de la tromperie du monde, étant donné que l’avertissement concernant la séduction des élus semble plus probable que ce que les gens pensaient au départ.
Merci pour l'écoute.
Que Dieu vous bénisse.