Flat Earth Traditional Catholics
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REPONSE A TROIS OBJECTIONS CONTRE LA TERRE-PLATE PORTANT SUR LES FUSEAUX HORAIRES, LES SAISONS ET LES MAREES .

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Post by Franravel Fri Dec 09, 2022 2:25 pm

Les objections qui sont souvent émises par les détracteurs de la Terre-Plate sont dues au fait que ceux-ci cherchent à y accorder un fonctionnement héliocentrique et copernicien.
Il faut absolument, pour comprendre la terre-plane avec le géocentrisme qui en est son corollaire, rejeter de fond en comble l'héliocentrisme de Copernic et de Galilée. Je le dis par expérience personnelle pour avoir adhéré et pratiqué ce système pendant 5 décennies. Ce sont physiquement, avant même d'être théologiquement, 2 visions du monde absolument incompatibles.
Il faut déjà se représenter que le Soleil n'est pas forcément ce que l'on croit, à savoir une étoile en forme de boule de feu. Celle-ci peut, c'est une hypothèse, être un plasma produit par une boule centrale électromagnétique induisant un foyer d'électricité positive, le Soleil, et un foyer d'électricité négative, la Lune. Dans ce cas, la Lune ne serait pas un corps rocheux mais un autre plasma magnétique ayant mémorisé la carte de la Grande-Terre à une certaine époque reculée.
On peut aussi envisager les quatre piliers d’une bobine de Tesla qui entraînent par mouvement perpétuel aussi toute la mécanique céleste des planètes et des étoiles fixes du firmament.
https://www.youtube.com/watch?v=oAi6963bsig
https://www.youtube.com/watch?v=A0n6V2H7P34
https://www.youtube.com/watch?v=bmaPwvKn2B8  .
https://www.youtube.com/@VIBESOFCOSMOS (voir toutes les vidéos de la chaîne)

AU SUJET DE L'OBJECTION DES FUSEAUX HORAIRES

Comme on vient de le dire, on peut aussi expliquer les deux luminaires du Soleil et de la Lune par le phénomène diamagnétique de la bobine de Tesla composée de 4 piliers aimantés. La Lune et le Soleil seraient des corps par forcément sphériques, certainement pas la Lune en tout cas, qui par électro-aimantation à l'intérieur de la bobine de Tesla représentée par la périphérie du dôme tourneraient au-dessus de la Terre. Je suis un peu moins d'accord, personnellement avec cette deuxième conception, mais...?.
Maintenant dans les deux cas, il va falloir tenir compte de plusieurs réfractions atmosphériques, celle de l'air, de l'atmosphère, du et/ou des dômes qui sont transparents comme le pensaient les anciens depuis les Grecs, mais aussi comme ils sont appelés dans l'écriture sainte à de nombreuses reprises et notamment dans la lecture constituant l'épître tiré du livre de la Sagesse dans la messe de l’Immaculée-Conception au 8 décembre. Ces milieux optiques que sont les dômes de formes sphériques ou au moins élipsoïdaux, l'air et l'atmosphère (sachant que ces deux derniers milieux se raréfient en rapport avec l'altitude et vont donc en plus courber les rayons de lumière) vont dévier la lumière et vont faire à ce que la Lune et le Soleil, mais aussi les planètes et les étoiles, plus elles se rapprocheront de l'horizon, plus leur vraie place dans le ciel ne sera pas ce que l'on observe à cause de la distance de plus en plus grande traversée à l'intérieur des différents milieux. Attention, il ne faut pas y intégrer les vues panoramiques des montagnes ou autres objets vus à l'horizon dans les panoramas, car même s'il y a une différence d'altitude de quelques milliers de mètres, celle-ci n'est pas suffisante pour déformer de façon déterminante l'image puisque les pressions atmosphériques sont quand-même assez proches. On peut se représenter schématiquement donc ces déviations de rayons lumineux en plaçant une loupe sous une lampe de poche ou la lumière d'un téléphone portable, et on constate que la lumière est focalisée en traversant la loupe, laissant apparaître une auréole lumineuse bien délimitées par le noir tout autour. C'est ainsi que se forme la nuit sur la Terre. La surface de l'auréole dépend de deux facteurs: la hauteur de la loupe et la distance de la source lumineuse par rapport à la loupe. Ici , la loupe représente au moins le premier dôme, la source lumineuse le Soleil et la Lune. D'ailleurs la coïncidence de la même taille apparente du Soleil et de la Lune (ce qui permet les éclipses de Soleil) laisse supposer que les deux luminaires, celui du jour et celui de la nuit sont intrinsèquement liés. Donc, du mouvement diurne résultant de la focalisation de la lumière du Soleil, résultent les fuseaux horaires, puisque, non seulement la distance du Soleil varie en permanence pour se trouver au plus proche dans la journée à l'heure du midi-vrai et beaucoup plus éloigné au crépuscule et à l'aube, mais la réfraction atmosphérique va jouer aussi en même temps. Il est donc impossible de calculer la distance du Soleil et de la Lune, comme celle des planètes et des étoiles parce que, comme je viens de le dire, leur image nous parvenant n'est pas vraiment réelle puisqu'elle passe par des milieux différents. En plus, concernant les planètes et les étoiles, la lumière respective transite par d'autres dômes superposés concentriques, à savoir un dôme par planète; les étoiles étant filtrées par un 7ème dôme.

AU SUJET DE L'OBJECTION DES SAISONS

Toutes ces dernières considérations vont servir aussi dans ce chapitre.
On constate depuis les grandes explorations polaires, à partir de la fin du 18ème siècle, notamment par le Capitaine James Cook, qu'il y a une dissymétrie absolument flagrante entre les prétendues hémisphères nord et sud. La ville la plus froide des zones boréales, située au nord du cercle polaire arctique, Verkhoïansk, a enregistré comme température les plus froides -75° celsius. C'est déjà très sérieux. Mais l'Antarctique, et là on n'est pas encore au 90° de latitude sud (correspondant au pôle-sud, si la terre est un globe), mais seulement vers le 70èmes ou 80èmes parallèles, on a enregistré des températures de -92° celsius! A ces températures, se forme la neige carbonique. Mais sans s'éloigner à ce point de l'équateur, mais en restant aux latitudes de l'archipel des ïles Kerguelen, c'est à dire les 48°-50°, donc correspondant symétriquement au nord de la France et l'ensemble de la Belgique (aussi grande que l'Europe!), les amiraux Ross et Wedel, éminents explorateurs du Grand-Sud, on constaté que les micro-organismes y était au nombre de 18 alors qu'en Islande située entre les 63 et 66,5° de latitude nord, ils en ont observés plus de 80. Mentionnons que jamais au grand jamais, les scientifiques nous parlent d'un soleil de minuit en Antarctique, seulement d'une nuit polaire interminable de 6 mois, laquelle est interrompue seulement avec une alternance de jours et de nuits, même au 21 décembre qui en principe est le solstice d'été austral. C'est pour le moins curieux et suspect. C'est donc que l'insolation des zones australes et boréales est très différente. Puis la conséquence de cette dissymétrie, c'est que les longitudes , au lieu de se rétrécir vers le pôle-sud dans l'hémisphère australe, s'élargissent! Donc cela explique toutes les catastrophes de disparitions de navires dues à des erreurs de coordonnées calculées à partir de la sphère. Ces navigateurs ont aussi remarqué que la durée des aurores et des crépuscules sont plus courtes dans les zones australes.Voilà des arguments qui ruinent sérieusement la conception du globe.
Mais ce n'est pas tout. Le soleil, comme la Lune d'ailleurs, procède annuellement par oscillations harmoniques https://fr.wikipedia.org/wiki/Oscillateur_harmonique. C'est à dire que la trajectoire du Soleil autour du Pôle-Nord, et non autour de la Terre (si elle était sphérique, ou au moins au dessus de la Terre dans le cas d'une terre incurvée en forme de poire, en forme de tore ou en encore en forme de sphère mais non habitée aux antipodes, comme le pensait St Augustin, donc occupée sur une calotte de celle-ci simplement), oscille annuellement entre les tropiques du Cancer et du Capricorne. Donc que la vitesse de celui-ci varie. Ainsi elle est plus lente le 21 juin parce que la circonférence du tropique du Cancer est moins grande (41825 km) et plus rapide le 21 décembre parce que le tropique du Capricorne est plus grand (83650 km) (cf: Dossier 111 - The real measures of the (flat) Earth p136, édition devenue introuvable sur internet). Mais cette oscillation harmonique procède magnétiquement à partir de l'influence magnétique de l'axe vertical à la terre plate Pôle-Nord-Etoile-Polaire, ou du moins perpendiculaire à la tangente sur 90° de latitude nord, dans la cas d'une surface incurvée. (Tiens, tiens, pourquoi on nous enseignait à l'école que la terre-globe était aplatie aux zones polaires, et il est à constater que l’astronome Johannes Kepler, détermine de nouvelles révolutions différentielles pour déterminer les saisons héliocentriques dans ses fameuses et célèbres trois lois, les distances dans ce modèle étant plusieurs fois décuplées. Mais?!!!!! C'est l'escroquerie qui pointe sa tête comme le serpent sous les feuilles!) . Ainsi l'altitude du Soleil est plus haute le 21 juin et plus basse le 21 décembre. Alors imaginons les mouvements horizontaux (fuseaux horaires) et verticaux (saisons) combinés avec les mécanismes de réfractions que nous avons entrevus tout à l'heure. Et puis,il y a les luminosités de l'aurore et du crépuscule qui ne sont pas les mêmes donc dissymétriques. La luminosité de l'aurore serait la même que la luminosité australe dans les latitudes dites polaires au 21 décembre, et la luminosité du crépuscule serait la même que la luminosité du soleil de minuit au latitudes se rapprochant du Pôle-Nord le 21 juin https://www.bitchute.com/video/oaWBfWoCXCDA/ .

Pour conclure ces deux chapitres, les détracteurs de la terre-Plane auraient raison de contester le titre de ces deux objections si celle-ci était dépourvue de dôme(s), car alors le Soleil pourrait être vu à des centaines de milliers de kilomètres à la ronde. Donc il n'y aurait pas de nuits, ce qui serait impossible. C'est pourquoi les cosmologistes coperniciens et galiléens ont prétendu abolir définitivement le concept de la terre-plane. L’harmonie des sphères, c’est à dire des dômes a continué à perdurer un peu chez des astronomes héliocentristes comme Kepler, mais bien vite cette idée a aussi été abolie  bien que la Sainte-Ecriture les mentionne à plusieurs reprises. Ils ont alors annoncé que le Terre sphérique tournait autour du Soleil en 24 heures (Copernic) Mais alors, il fallait agrandir le Soleil pour qu'il devienne plus gros que la Terre et puisse assurer une stabilité du système solaire. Il fallait aussi l'éloigner proportionnellement. Ainsi on découvre, dans les documents analysés des époques depuis la Renaissance, des distances du Soleil de 3 millions de Kilomètres, 9.000.000, 20.000.000 pour arriver progressivement à 150.000.000.000 à la fin du 19ème siècle. Mais le problème, c'est qu'une masse ne faisant que grandir proportionnellement à sa distance entraîne une inertie de plus en plus grande si bien que le frottement de l'atmosphère de la Terre_globe dans l'espace ou l’éther des anciens, devient insupportable jusqu'à arracher non seulement la même atmosphère mais aussi tout ce qui se trouve à sa surface tellement la vitesse est grande. A 150.000.000 km, la vitesse moyenne de la Terre (globe) est de 108.000 km/heure soit 30 km/sec.
C'est alors que le rusé Galilée intervint, et pour résoudre ce problème fit tourner la Terre-Globe sur elle-même en 24 heures afin de sauver le système héliocentrique. En même temps il postula l’inclinaison de la terre à 23,6° par rapport l’écliptique et sur l’axe des pôles, pour justifier les saisons héliocentriques On sait les discussions très véhémentes qui se produisirent parmi les théologiens dont St Robert Bellarmin, mathématicien de surcroît, qui jugea les systèmes de Galilée et de Copernic comme remettant en question de façon extrêmement irréversible et extrêmement grave le point de vue de la vision du monde enseignée depuis les Grecs, Aristote et Ptolémée, ainsi que la fixité de la Terre pourtant rappelée sans-cesse par les écritures avec les conséquences funestes pour la Foi dont nous subissons aujourd'hui les conséquences dans leur totalité: évolutionnisme, relativisme, pluralité des mondes, gnose, panthéisme. L'Héliocentrisme fut condamné formellement par le magistère de l'Eglise en 1635 lors du Concile de Trente. Galilée fut assigné à résidence avec interdiction formelle de professer ses théories. Le traitement de faveur en tant que prisonnier réservé à Galilée fit qu’il ne tint aucun compte de cet interdit, et il continua à enseigner son système de façon discrète. Malheureusement, le modernisme étant déjà à l'oeuvre fit que de nombreux érudits, professeurs religieux Jésuites et Dominicains, pour contrer immédiatement l'hérésie protestante dont un grand nombre restait encore géocentriste (à défaut d'être terra-platiste). En se donnant bonne conscience, ils profitèrent des visites faites à Galilée et continuèrent donc à enseigner le nouvel héliocentrisme en cachette pendant 110 ans à peu près jusqu'au pontificat de Benoit 14, lequel, dans un souci d'apaiser les passions, autorisa la lecture des ouvrages héliocentriques jusque là mis à l'index, à condition qu'il y ait des annotations du Saint-Office. C'est alors que de nombreux Catholiques s'engouffrèrent dans l'héliocentrisme à partir de 1740-1750. Le règne de Napoléon accéléra cet engouement et lors du concile Vatican 1 en 1870, certains pères théologiens très inquiets de l'importance que prenait le copernico-galiléisme dans les milieux catholiques, en référèrent au Concile de Trente pour faire proclamer l'infaillibilité pontificale car les papes, comme nous venons de le voir, s’étaient déjà servi du magistère pour condamner la théorie en question.

AU SUJET DE L'OBJECTION DES MAREES

Nous abordons alors le sujet crucial de la gravitation. Aristote a été le premier, que je ne sache, puisqu'il était partisan d'une terre ronde mais très grande, voire démesurément grande, tout en étant bien-sûr géocentriste, à avoir postulé le concept de gravitation. La raison en était que, pour lui, la Terre étant un corps rond, pour que les objets ne roulent pas dans le vide, il fallait qu'il y ait une force de rétention pour maintenir les objets sur la surface de la Terre. C'est cette idée nouvelle qui va retenir un grand nombre de chercheurs et de philosophes à accepter pleinement l'idée d'une terre ronde à défaut d'être sphérique.
Saint Thomas d'Acquin que l'on présente généralement à tort dans les milieux catholiques comme géocentriste-terra-rondiste verse beaucoup plus dans le concept de la Terre-Plate dans son long article tiré de la somme intitulé "De Caelo". Il en invoque la stabilité de la terre qui est beaucoup plus garantie sur une surface plane que sur une surface incurvée qui demeure en tangente sur un point d'appui.
Mais cette question de la gravitation va être reprise par Isaac Newton pour étayer l'héliocentrisme de Copernic, Galilée et de Kepler. Il va donc achever le raisonnement des équations de ce dernier en postulant la loi d'équivalence ou de conservation entre la masse d'une sphère et l'attraction de celle-ci. De là il va postuler que toutes les planètes et les étoiles qu'il juge comme des sphères, obéissent à cette loi qu'il érige comme universelle.
Le problème, c'est qu'on a jamais été sur ces planètes ou les prétendues planètes de ces étoiles pour vérifier si cela est vrai.
De plus, il affirme par conséquent que les planètes sont des corps rocheux ou gazeux. Tout tend aujourd'hui à conclure que ce sont des élucubrations mathématiques élégantes.
La gravité est donc un mythe avec tout le respect que l'on a pour Aristote qui a l'excuse de ne pas avoir eu les moyens technologiques de ses observations. Cette attraction qui nous colle à la terre est à attribuer à deux forces électromagnétiques qui s'opposent: la pesanteur qui a pour cause la densité des corps, c'est à dire la teneur de matière qu'il y a en eux, et la poussée d'Archimède opposée propre à tout liquide et milieux gazeux.
Ainsi les marées qui seraient dues à l'influence attractive de la Lune considéré comme solide ou corps rocheux, ainsi que dans une moindre mesure à la masse du Soleil, est impossible. La cause est donc à chercher ailleurs. Avant la Renaissance, les cartes présentaient à l'emplacement de l'océan Arctique actuel un continent grosso -modo circulaire partagés par quatre gros fleuves allant des océans avoisinants au centre sur lequel est placée une énorme montagne très haute appelée selon plusieurs traditions , le Mont Meru. Celui-ci est entouré d'une mer intérieure impétueuse recueillant les eaux qui se mettent à tourbillonner autour de lui. Les évêques Adalbert, les archevêques de Brême et d'Amsterdam racontent dans leurs chroniques du 12-13ème siècles (avant les prétendues grandes découvertes de l'après 1492) des expéditions dramatiques de pêcheurs dans ces eaux qui se sont faits capter et ont été engloutis vers le lac tourbillonnant du Mont-Meru. Un seul  capitaine de ses pêcheurs a réussi à y échapper. Aussi ces évêques recommandent de ne pas s'aventurer trop loin au nord. L'explication de ce phénomène est suffisant pour rendre compte du mécanisme de marées où il y aurait toutes les chances qu'il se produisent deux fois toutes les 24h40mn de révolution de la Lune au dessus de la Terre, un échange de masses d'eau très important dans un sens et dans l'autre entre les eaux inférieures et les eaux de la Terre connue. Ce phénomène n'exclut pas que cet échange puisse aussi affecter les eaux au dessus du premier dôme.

Comme on le voit, la force électro magnétisme est essentielle pour expliquer la terre-plane. La physique moderne a cru déterminer 4 forces différentes pour décrire l’univers : la force nucléaire forte qui maintient les protons et les neutrons collés dans l’atome, la force nucléaire faible qui maintient les quarks dans les potons et les neutrons, la force électro-magnétique qui satellise les électrons autour de l’atome puis la force gravitationnelle qui attire (Newton) ou repousse (Einstein) les corps par rapport à une masse planétaire ou stellaire. Cette dernière est de très loin beaucoup plus faible que les trois autres et n’a pu y être réellement reliée. En définitive, il serait plus raisonnable de penser qu’il n’en existe qu’une seule : la force -électromagnétique.
Comme le disait Nicolas Tesla :



Les scientifiques d’aujourd’hui pensent avec profondeur au lieu de penser avec clarté. On doit être sain d’esprit pour penser avec clarté mais on peut penser profondément et être complètement malade.

Franravel

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