Flat Earth Traditional Catholics
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BRÈVE HISTOIRE DE LA CONCEPTION DE LA FORME DE LA TERRE, DES ANCIENS À NOS JOURS ET COMMENT L’IDÉE DE LA TERRE-PLATE FUT ÉVACUÉE AU FIL DES SIÈCLES AU PROFIT D’UNE COSMOGRAPHIE DE PLUS EN PLUS RELATIVISTE.

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BRÈVE HISTOIRE DE LA CONCEPTION DE LA FORME DE LA TERRE, DES ANCIENS À NOS JOURS ET COMMENT L’IDÉE DE LA TERRE-PLATE FUT ÉVACUÉE AU FIL DES SIÈCLES AU PROFIT D’UNE COSMOGRAPHIE DE PLUS EN PLUS RELATIVISTE. Empty BRÈVE HISTOIRE DE LA CONCEPTION DE LA FORME DE LA TERRE, DES ANCIENS À NOS JOURS ET COMMENT L’IDÉE DE LA TERRE-PLATE FUT ÉVACUÉE AU FIL DES SIÈCLES AU PROFIT D’UNE COSMOGRAPHIE DE PLUS EN PLUS RELATIVISTE.

Post by Franravel Sun Apr 07, 2019 11:24 pm

DE L'IDEE DE TERRE RONDE OU À UNE SURFACE INCURVEE DE CELLE-CI, À L'IDEE DU GLOBE

Après qu'Hipparque au début du 1er siècle avant Jésus-Christ ait dû renoncer à mesurer la distance des étoiles à cause du manque de moyen technique relatifs à l'époque, mais surtout de la difficulté à se déplacer sur terre sur de très grande distances pour établir avec les étoiles, qu'il supposait avec raison beaucoup plus éloignées que les astres en mouvement, une triangulation correcte afin de calculer une distance plausible, il dut conclure que les étoiles se trouvaient à une distance infinie.
Mais pourquoi Hipparque se fixa seulement sur ce postulat? Il aurait été, selon ce qu'en écrit Gerrard Hickson dans "Kings Dethronned" (published by the Hicksonia publishing CO. 2 Bride Court, Fleet Street, London E.C.4 or 21, Newberry Avenue Stapleton, Staten, Island, new-York, U.S.A.) formé par des disciples du maître Pythagore ayant vécu 4 siècles avant lui. Pythagore enseignait déjà la Terre-Globe tournant autour du Soleil et Aristarque de Samos son disciple qui avait à partir de cette idée évalué la distance du Soleil en prenant comme référence la distance de la Terre à la Lune laquelle est évaluée sur le temps que met la Lune à traverser l'ombre (prétendue) émise par la Terre lors de l'éclipse de Lune. Le calcul du rayon de la Terre par Aristoxène part aussi du postulat de la Terre-Globe, car on peut refaire ce même calcul en considérant la surface comme plate et on arrive à un résultat du Soleil à 6000 km environ d'altitude, considérant que l'indice de réfraction est négligeable, vu l'angle du Soleil proche de la verticale. Aristarque de Samos fut condamné à être brûlé sur la place publique pour impiété. Cela montre combien à l'époque le sujet de la forme de la Terre était déjà un débat non seulement passionné et controversé, mais remettant en cause les fondements métaphysiques de la Foi, comme c'est toujours le cas aujourd'hui 2500 ans après.
On peut supposer que tous les disciples de Pythagore n'avaient pas le même degré de connaissance, voire d'initiation (on pense aux mystères d'Eleusis), et par conséquent parmi eux il en avait certainement qui étaient Géocentristes tout en pensant que la Terre pouvait être ronde sans nécessairement être un globe. C'est vraisemblablement sur l'un d'eux qu'est tombé Hypparque. Mais quand il déclara que les étoiles étaient situées à une distance infinie, mesura-t-il la portée de son affirmation pour les générations futures? Cela supposait une telle distance de mesure à la base, que même une Terre-Ronde plus grande en rayon que celui officiellement adopté n'était pas suffisante pour en constituer l'outil d'approche. Il fallait tout bonnement envisager l'espace, et il y a tout lieu de supposer que finalement Hipparque pensait que la Terre était un globe situé dans l'espace. Mais, comme nous l'avons dit plus haut, le sujet était trop impérieux à l'époque pour tout révéler. Cela donc peut expliquer pourquoi les Géocentristes de l'antiquité imaginaient des différentes hypothèses de Terre-Ronde jusqu'à envisager même l'idée d'une Terre-Poire ou piriforme. Ptolémée, géocentriste convaincu, son élève admiratif, chercha à développer son enseignement, mais butta sur le problème des révolutions des corps et sur la cause de ces mouvements. Cependant ses observations firent autorité jusqu'à la funeste révolution dite copernicienne 14 siècles après. Anaximandre et Xénophon pensaient que la terre était plate, mais l'idéaliste Parménide professait la sphéricité de la Terre.
Avec bonne volonté, je suppose, Ptolémée propagea l'idée de terre-Ronde à travers le bas-empire et le moyen-âge, laissant chaque intéressé diffuser sa théorie sur la question. Ainsi, après l'enseignement des Pères de l'Eglise des docteurs de cette époque qui généralement pensaient que la terre était plate comme Cosmas Indicopleustès (de son vrai nom, Constantin d’Antioche), Saint Isidore évêque de Séville, il y avait des docteurs comme Saint-Augustin, ou Saint-Thomas d'Acquin qui tout en pensant que la Terre n'était pas habitée aux antipodes, développaient plutôt l'idée d'une Terre Ronde avec un rayon plus grand que celui calculé par Aristoxène. Aristote leur maître étaient de ceux-là. Les corps célestes pouvaient donc tourner au dessus d'une portion incurvée de la Terre telle une calotte, un peu comme ce que nous pensons aujourd'hui de la Terre-Plate. Mais ces grands penseurs avaient l'excuse de ne pas connaître les vertus rectilignes du rayon laser qui seront utilisées au 21ème siècle, au Lac Balaton en Hongrie et au Lac Baïkal en Russie, pour évaluer s’il a une courbure de l’horizon ou non (https://www.informationtresvraie.com/ou-est-la-courbure-test-laser-unique-lac-balaton-hongrie/; https://www.informationtresvraie.com/update-lac-balaton-challenge-globetards/; https://www.informationtresvraie.com/le-test-au-laser-du-lac-balaton-la-reponse-des-globetards/; https://www.informationtresvraie.com/test-laser-lac-balaton-communique-de-presse-fecore/).
Pourtant Aristote envisageant le problème de la chute des corps, imagina qu'il fallait un phénomène pour les retenir sur une surface s'incurvant de plus en plus à mesure que l'on s'éloigna de la Grèce. Ce phénomène était la Gravitation avec le G de la Gnose et des initiations maçonniques ou du GOT ou GOD immanent. C'est là que le Rabbin prétendu converti au catholicisme et promu par le Pape Pie IX bibliothécaire au Vatican, Paul Drach, nous annonce dans la préface de son énorme ouvrage "De l'harmonie entre l'Eglise et la Synagogue" que la Gravitation fut révélée secrètement à Moïse au mont Sinaï, en même temps que les tablettes de la loi. Cet enseignement est appelé Kabbale sacrée ou magique par opposition à la la Kabbale pharisaïque, celle qui a fait mettre à mort Notre-Seigneur-Jésus-Christ, et, selon l'auteur exceptionnellement érudit, il contiendrait déjà tout l'enseignement de l'Eglise à venir. Les 72 livres d'Esdras auraient consigné par écrit cet enseignement encore ésotérique, mais 70 de ces livres auraient été dispersés lors de la déportation des Hébreux à Babylone. Deux de ces livres rescapés finalement sont retenus dans la Bible par l'Eglise. Paul Drach nous annonce tout bonnement, dans la préface, que finalement les théories de Copernic, Képler, Galilée et Newton étaient contenues dans ces livres, et que c'est un grand malheur que le monde n'ait pas connu cet enseignement avant; ce qui aurait évité les errements de Ptolémée et de Ticho Brahé entre autre. Paul Drach se pose comme défenseur inconditionnel de la Kabbale dite sacrée ou magique, considérant que c'est le seul moyen pour intégrer les Juifs à l'Eglise catholique. Mais on a quand-même des doutes sur l'aspect multiforme de cette tradition que l'on sait intrinsèquement ésotériste, et dont certaines branches constituaient déjà la nouvelle religion que Notre-Seigneur-Jésus-Christ dénonçait chez les Pharisiens jusqu'à les nommer de race de vipères!

PAS DE GEOCENTRISME SANS TERRE A SURFACE PLANE

De tous ces tâtonnements cosmologiques et astronomiques au fil de l'enseignement à travers les siècles jusqu'à l'avènement de Martin Behaim (1459-1507) originaire de Nüremberg, le concepteur du globe dans les salons littéraires et scientifiques, et le Chanoine Nicolas Copernic au milieu du 15ème siècle, devant la décadence des moeurs du clergé catholique et les affaires scandaleuses de simonie ayant court dans le Saint-Empire Romain-Germanique, remettant en cause l'autorité du souverain pontife soit pour de vrai soit par calomnies, devant les "grenouillements" de marranes faisant semblant de se convertir, une réaction protestante elle-même tintée aussi de marranisme, soutenues secrètement par certains princes électeurs,vint inonder l'Europe. Malheureusement, la position terra-platiste était surtout défendue par ces derniers, et le mouvement jésuite, pour contrecarrer l'hérésie à base nominaliste prêchée par les Protestants, choisit délibérément l'idée de la rotondité de la Terre et alla encore plus loin en allant proclamer à travers le monde et surtout l'Asie que le système était héliocentrique. Quelle pouvait être donc la motivation des Jésuites à s'engager dans une cosmologie pourtant si controversée et déjà condamnée par un grand nombre de Pères de l'Eglise? La réponse pourrait bien résider dans l'ordonnance de Ferdinand d'Aragon et d'Isabelle la Catholique exigeant la conversion sur le champ au christianisme des Juifs et des Musulmans vivant sur le sol de la péninsule Ibérique, sinon il devaient partir. Les "Conversos" ainsi restèrent, mais au bout de plusieurs génération on découvrit que parmi eux, un certain nombre gardaient leur tradition talmudique secrètement et demeuraient en contact avec ceux qui étaient parti et notamment les kabbalistes de l'école de Safed en Palestine avec Nathan de Gaza et Isaac Louria. Il y a aussi les restes de l'effondrement du royaume Khazar converti au Judaïsme au 8ème siècle sous le roi Bullan ,qui est à l'origine d'une maturation khabaliste par ses ressortissants s'implantant en ghettos en Hongie, Pologne, Lituanie, Bielo-Russie et Ukraine constituant une osmose propice à associer le Judaïsme traditionnel et l'esprit de la Kabbale que l'on va retrouver dans la publication du Zohar. Ainsi toutes les conditions politiques et religieuses se trouvaient réunies pour créer des passerelles entre les Sépharades d'Espagne et d'Afrique du Nord puis les Ashkeno-Khazars d'Europe et d'Asie-Centrale. Saint-Ignace, fondateur de l'ordre jésuite, aurait eu une origine Khazare du côté de sa Mère. On pourrait, mais ce n'est pas une certitude, en comprendre par là,  l'esprit très prescriptif et "lavage de cerveau" des fameux exercices spirituels donnant lieu très facilement à une manipulation des âmes par les directeurs spirituels si ceux-ci en abusent. Les cadres communistes des révolutions russes et chinoises avaient très bien compris la portée très puissante de ces exercices si on les détournait de leur vocation première.
Pour en revenir à la révolution dite copernicienne, on conçoit un tant soit peu la logique de ce tout nouveau système redécouvert 1500 ans après, quand on est convaincu que la terre est ronde. Ainsi, dans ce cas, elle ne peut qu'être sphérique, car la Gravitation est le corollaire indispensable pour comprendre ce nouveau mécanisme. Mais alors, si elle est sphérique, cela met en cause la question de la masse. Il ne faut pas non plus que la Terre soit trop grande sinon la vie y serait impossible car nous serions trop lourds.
"Tunc venit Newtonius". C'était le sauveur de l'héliocentrisme. Kepler en était le précurseur avec ses 3 lois. Définitivement le rayon de la Terre était arrêté puis mis en relation avec les 3 lois. C'en était fini pour la Terre-Plate, les mathématiques étaient là pour sauver la sphéricité des astres et l'héliocentrisme, et elles permettaient d'ériger en dogme ces nouvelles hypothèses. La Terre devenait une planète parmi d'autres et non plus le domaine élu par Dieu pour y placer la création et pour y recevoir le fils de Dieu fait homme, verbe incarné de la seconde personne de la Sainte Trinité. Il ne restait plus qu'à résoudre la vieille question d'Hipparque: Les étoiles sont à une distance infinie?
"Tunc venit Einteinius" et là la pluralité des soleils vus dans les étoiles était non seulement proclamée définitivement, mais la Voie lactée devenait à son tour une galaxie parmi d'autres, et enfin disparaissait avec les enseignements de De Sitters, tous doutes entre la constitution physique des galaxies et celle des nébuleuses.
Ainsi l'histoire de l'Univers était close, et on allait pouvoir enfin divaguer vers les quasars, les magnétars et les multivers! Albert Einstein était secondé par l'Abbé Georges Lemaître, Jésuite comme par hasard, qui introduisait à son tour, logiquement le Big-Bang qui devenait alors, dans" l'espace temps", le milieu physique abolissant l'éther, et en même temps le nouveau centre de l'univers aussi bien dans l’espace que dans le temps devenu la 4ème dimension cosmologique. Les questions de Foi et des écritures bibliques et évangéliques demeuraient exclusivement des supports mystiques et théologiques, mais ne constituaient surtout plus en aucun cas des indices sur l'histoire et la texture de la Terre sous peine de fondamentalisme et donc de démarche rappelant celle des Protestants.
Mais comme cette synthèse cosmologique "newtonio-einsteinienne" comporte beaucoup de contradictions dont certaines ont été exposées plus haut, c'est aller très fort en besogne que de se satisfaire de ce qui est finalement une très élégante et habile illusion.
Toute rotondité exige la Gravitation, et comme celle-ci ne peut que tendre à être régulière sur tout les points de la sphère, elle exige la forme globulaire. Mais un globe qui attire forcément ne peut rester fixe dans l'espace, et demeure par conséquent lui-même attiré par d'autres globes ou étoiles de masses supérieures à lui. Or celui-ci ne peut qu'être entraîné, vu les masses influentes bien plus énormes que lui, à des vitesses faramineuses elles même perturbées par d'autres facteurs gravitationnels, qui ne peuvent qu'arracher son atmosphère et ses éléments liquides, s'il en a, à moins qu'il possède un champ magnétique conséquent pour retenir ces éléments et les empêcher de s'échapper dans l'espace, mais alors la vie serait impossible. L'écriture sainte dans le livre de Job parle de 4 piliers sur laquelle est placé la terre. C'est un mystère, mais qui peut trouver une partie de sa réponse dans sa fixité absolue et non dans la théorie des barreaux ferreux postulés par Monsieur Fernand Crombette, que je soupçonne aussi être un marrane kabbaliste, par ses méthodes de translittération de l'hébreux en copte de la Thora.
Notons aussi que Crombette fait partie des géo-centristes qui veulent absolument sauver le concept "Terre Centre du Monde"  par la Terre-Ronde-Sphérique, avec antipodes bien-sûr. Il se pose en disciple du Géo-Centriste Ticho-Brahé, mais ce qui le différencie de lui, c’est qu’il fait tourner la Terre sur elle-même en 23h56mn, comme le pense toute l’astronomie moderne, et en même temps la fait tourner en tangente en un an (365,2422 jours) autour de l’axe de l’univers marqué par les repères de l’Etoile-Polaire de la Petite-Ourse au nord et l’étoile peu visible de Sigma de l’Octant au sud. Il sauvegarde aussi les lois de Newton et de Kepler et développe l’idée d’un astre noir de masse beaucoup plus importante situé à 57 UA (unité astronomique=150.000.000 de km) du Soleil qui obligerait à placer la terre au centre de l’univers avec son minuscule mouvement orbital égal à son rayon officiel (6378km). Il préserve aussi les distances officiellement établies de planètes et du Soleil avec leur masse respective.
Devant tous ces systèmes extravagants, gigantesques, contradictoires et terrifiants, il est plus que raisonnable et urgent de les abandonner et de les rejeter. Ces théories  qui sous couvert d'énormément de science, sont finalement mensongères, servent une autre théorie tout aussi mensongère qui est celle de l'évolutionnisme imposée partout, même si celle de Crombette se pose en créationniste. Elles fonctionnent admirablement pour faire perdre la Foi en ouvrant des portes sur la pluralité des mondes et le panthéisme, et finalement emprisonne l'intelligence humaine dans un embrigadement intellectuel esclavagiste funeste pour le salut éternel. Ces théories aussi sont en osmose avec le relativisme philosophique et ruinent par conséquent la notion de vérité, celle qui troublait tant Ponce Pilate le jour de la passion du Christ (voir la passion selon St Jean).
Le géocentrisme est donc intégralement vrai mais il ne peut que concorder qu'avec une TERRE-PLATE. Nous assistons donc peut-être en ce moment, à la fin de l'interrogation d'Hipparque après plus de deux mille ans d'errement et d'aventures pleines de désillusions.


EN FINIR AVEC LA GRAVITATION

On croit souvent avoir apporté toutes les objections sur un sujet donné, mais quand on continue de le mûrir, d'autres idées surgissent inévitablement: il s'agit des phénomènes de perturbations gravitationnelles.
En effet, si on envisage le couple Terre-Lune avec les distances terra-rondistes-coperniciennes actuellement reconnues et que l'on calcule son centre de gravité, celui-ci devrait être ramené sur une moyenne de 4814 km du centre de la terre étant donné que la masse supposée de la Lune est de 1/81ème celle de la Terre. De plus, selon l'astronomie officielle, l'orbite particulièrement irrégulière de la Lune comporte un périgée à 360000 km et un apogée à 420000 km, ce centre de gravité est en perpétuelle révolution, lui aussi, autour du centre de la terre , mais à l'intérieur d'elle-même, et avec la même forme orbitale de la Lune, donc avec le même coefficient d'ellipse. La Terre tournerait donc autour du Soleil en effectuant en plus une sous-trajectoire sur sa trajectoire réelle, en forme de "S" tous les 27,32 jours (voir les tableaux et schémas tirés de "Astronomie Introduction" p 72 à 74 et de p 106 à 111 par Agnès Acker_collection De caelo ed.Masson_1992). Cela devrait avoir des conséquences particulièrement déstabilisatrices sur la Terre, et donc provoquer des séismes constants de magnitude bien plus fortes que les séismes les plus violents que notre bon vieux domaine terrestre a connus. Il faut aussi rajouter toutes les autres perturbations dues d'abord au périhélie et à l'aphélie de l'orbite terrestre qui introduisent des différences d'attraction par rapport au Soleil, même s'ils elles sont plus négligeables comme aussi les perturbations dues aux autres planètes de système solaire; tout ceci au nom de la fameuse loi de Newton G.M.M'/R². Cette dite Planète-Terre (que le grand et génial physicien Nicolas Tesla se refusait à appeler comme telle) devrait donc au moins être constamment soumise à des vibrations et des tremblements de toutes sortes. la vie devrait donc être impossible. De plus, même si par miracle on ne les ressentait pas, on devrait encore au moins observer un flou horrible et très pénible à regarder sur les photos prises en pause du ciel traduisant le mouvement diurne de la voûte céleste par les cercles concentriques des étoiles autour de l'axe de l'étoile Polaire. Or il n'en n'est rien!!! Ces multiples cercles sont d'une harmonie parfaitement circulaire, semblables aux anciens disques vinyles en microsillon qui faisaient notre joie musicale dans les années 1960-1970. Et ici, nous n'avons pas parlé des graves handicaps voire impossibilités d'une Terre tournant sur elle-même générant des vitesses à l'équateur supérieures à celle du son et provoquant des interférences avec les vitesses différentielles des zones supérieures du prétendu globe inférieures et diminuant jusqu'à zéro aux pôles. Jusqu'ici nous raisonnions selon les distances officielles de l'astronomie moderne dans le système copernicien.

Mais raisonnons maintenant selon un système géo-centriste mais avec une Terre-Ronde en forme de globe. Les Créationnistes sont souvent encore attachés à ce modèle, et pensent que le Soleil, la Lune et les planètes tournent autour de la Terre, tout en affirmant qu'il est possible d'y lancer dans l'espace des satellites artificiels et des sondes interplanétaires et en même temps se résignent à penser progressivement que le programme NASA-Apollo des années 1960-70 n'a jamais posé de "LEM" ni d'hommes sur la Lune. Nous allons démontrer que cette façon de voir les choses est complètement incohérente.
Monsieur Pierre Desquenes  pourtant, lui aussi Terra-Rondiste, géocentriste et « Crombettiste », dans son livre publié en 1996 :"La science du XXème siècle, Mythologies ou Bible du Démon" déclare, certes,  sans preuves et contre Crombette paradoxalement, que les distances des astres avec leur taille et leur masse  propre sont largement à revoir à la baisse. Effectivement, si on reste attaché à la loi de gravitation de Newton, cette diminution des distances et de la grandeur des astres entraîne logiquement une diminution des masses respectives, supposant que celle de la Terre (globe reste la même). Les astronomes de toute tendance (hélio-centriste et géocentristes) à l'époque du XVème-XVIIème siècle envisageaient des distances moindres du Soleil allant de quelques millions à quelques dizaines de millions de la Terre. Ici, il faudrait évaluer une distance et une masse d'un Soleil inférieures à celle de la Terre  capable d'éclairer l'hémisphère entier. Mais le problème, c'est que cette masse serait encore bien trop importante, et elle ferait tourner quand même la Terre en révolution autour d'un axe central qui serait forcément celui du monde. Puis les autres planètes tournant aussi autour du Soleil influeraient sur la Terre, déformant alors cette orbite que l'on croyait enfin définitivement circulaire!  que penser aussi d'un Soleil  moins grand et d'une Lune plus grande, qui elle viendrait troubler irrémédiablement cette nouvelle danse planétaire. Notre pauvre Terre serait bien malmenée avec deux compagnons aussi gros, et le géo-centrisme tant attendu deviendrait impossible puisque la terre, comme nous venons de le voir, ne pourrait pas être fixe. Mais là encore, c'est supposer dans ce modèle non viable une Terre qui tourne sur elle-même puisque les Soleil, la Lune et les planètes auraient encore une dimension conséquente.

Voyons maintenant ce qu'il en serait si la Terre était toujours un globe, mais sans rotation diurne. Les distances seraient encore plus diminuées, mais alors le Soleil serait, soit trop grand selon la loi de Newton et tournerait trop vite, soit ne pourrait plus éclairer une hémisphère dans son intégralité parce qu'il serait trop petit.
On pourrait alors envisager une terre d'un rayon bien supérieur à 6364 km (qui est le rayon officiel moyen), mais alors comment expliquer les journées de 24 heures?

Ou bien envisager une Terre ronde sans antipodes habitées comme l'envisageaient les anciens, mais c'est revenir au problème de la gravitation soulevé au sujet des corps qui rouleraient dans le vide à mesure que l'on s'éloignerait de la Grèce, si on prend comme région de départ le pays d’Aristoxène, comme il l'a été dit au chapitre: "DE L'IDEE DE TERRE RONDE OU À UNE SURFACE INCURVEE DE CELLE-CI, À L'IDEE DU GLOBE".

On est bien obligé de conclure que tous ces systèmes ne marchent pas et que les lois invoquées, comme celle de Newton, se retournent contre ces derniers alors qu'elles sont censées les défendre. La seule solution est de se tourner vers le modèle de la Terre-Plate qui a l'avantage de répondre avec satisfaction à tous ces problèmes, et à rejeter les lois de la gravitation qui sont source à confusion. En plus , la Terre à surface et projection plane concorde magnifiquement avec l'écriture sainte et tout ce qui a trait à la révélation.

Franravel

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