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LUMINOSITE et ALBEDO DES ASTRES PAR BOB KNODEL.

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Post by Franravel Sat Dec 10, 2022 12:33 pm

Nous avons cru très utile et nécessaire de publier l'intégralité de la conférence de Bob Knodel prononcée en 2019 sur la luminosité des astres et leur énergie correspondante. On réalise alors qu'il faudrait que la Lune, si elle est à 384000 km de moyenne de la Terre, dégage une énergie bien plus considérable pour pouvoir nous éclairer comme elle le fait lors de la pleine-Lune. Bob Knodel annonce alors que si c'était le cas, les astronautes qui s'y sont prétendument posés de 1969 à 1972, auraient été littéralement brûlés par cette lumière.
Nous remercions chaleureusement le Dr R.B. Ph.D. qui avait déjà adressé une lettre de réponse à monsieur le Dr. Sungenis et qui a été publiée dans ce site, pour son livre consacré au sujet bien légitime du géocentrisme mais qui pourfend hélas la Terre-Plane. Nous ne communiquons bien-sûr pas volontairement le nom du traducteur pour des raisons privées.
Nous communiquons ci-dessous la version de la conférence-vidéo originale sur la chaîne "odysee" dont la version de You-Tube a été censurée.

Video-Source: https://youtu.be/ohlqaHLAvTU (vidéo censurée)
La même sur odysse: https://odysee.com/@GLOBEBUSTERS:c/globebusters-bob-knodel-2019-feic:1

GLOBEBUSTERS - Bob KNODEL 2019 Présentation FEIC

Trois preuves de plus pour la Terre plate

Notre approche, ce que nous essayons de faire, est en quelque sorte d’apporter une sorte de bon sens.
Les mathématiques sont un langage face auquel les gens ont tendance à    se braquer, c’est pourquoi j’essaie de présenter les choses avec des concepts simples.
C’est ce que nous allons faire aujourd’hui, nous allons parler de concepts accessibles, habituels.
Je vais parler de l’intensité de la lumière de la lune et des étoiles, et nous poser la question si nous devrions être en mesure de les apercevoir ou non.
Nous allons aussi parler un peu de l’ISS et de quelques problèmes de luminosité que nous avons trouvé avec la lune.
Je vais commencer et j’ai intitulé cette conférence :
« Oh, mes étoiles… c’est inglobable ! »
Exposé sur la proportionnalité inverse entre distance et taille
et sur la proportionnalité inverse entre intensité lumineuse et carré de la distance.
(C’est-à-dire, étant donnée la luminosité des étoiles, leurs tailles et leurs distances sont-elles physiquement plausibles ?)

Lois optiques élémentaires
Il y a donc certains éléments à prendre en compte lorsque nous réfléchissons aux étoiles et aux planètes.
Elles sont toutes à peu près de la même taille, de petites lumières scintillantes, et ils nous disent tous qu’elles se trouvent à des millions, des milliers, des centaines de millions, millers de milliards d’années-lumière et vous savez, ceci a toujours représenté pour moi une pilule difficile à avaler.
Vous connaissez les astronomes, ils essaient de vous convaincre qu’ils savent ce qu’ils ne peuvent savoir alors, ce qu’ils font est qu’ils font beaucoup d’hypothèses et de suppositions dans les informations qu’ils vous présentent, c’est ainsi qu’ils ont l’opportunité d’utiliser les mathématiques afin d’obtenir les nombres faramineux qu’ils avancent et ensuite réutilisent leurs mathématiques afin de vérifier à peu près la majorité de leurs suppositions, mais comme je l’ai dit, nous voulons s que vous sachiez apporter une sorte de bon sens à tout cela, et donc réfléchir à certaines choses lors de l’examen de ces chiffres.
Une chose est à considérer lors de l’examen des étoiles et des planètes, c’est la relation de proportionnalité inverse entre leur distance et leur taille angulaire qui est un fait mesurable et calculable mathématiquement:

*La proportionnalité inverse entre Distance et Taille angulaire est un fait mesurable et calculable mathématiquement !
*Lorsque la Distance est doublée, la Taille est réduite de moitié - lorsque la Distance diminue de moitié, la Taille est doublée.
Par exemple, si je regarde un objet qui mesure 2 m devant moi et que je recule par exemple de 3 à 6 m, la taille angulaire de l’objet va être réduite de moitié, en d’autres termes, elle va sembler avoir rétréci à la moitié de sa taille. A l’inverse, lorsque je me rapproche, la taille de l’objet va me sembler devenir plus grande : en diminuant la distance de moitié, la taille va m’apparaître avoir doublé dans mon champ de vision.
Ce sont des concepts de bon sens que nous savons tous.

Par ailleurs, comme nous pouvons le constater dans la réalité et faire des calculs dessus :
*La proportionnalité inverse du carré de la Distance et de l’Intensité lumineuse est un fait mesurable et calculable mathématiquement !
Laissez-moi vous en parler un peu davantage. Le concept est que lorsque vous avez une source ponctuelle de lumière, ou d’ailleurs n’importe quelle source lumineuse qui brille comme ces spots par exemple, vous avez une très grande intensité lorsque la distance est proche mais à mesure que vous vous éloignez, l’intensité commence à diminuer de manière importante.
La définition de Wikipedia est la loi physique du carré inverse qui indique qu’une quantité ou intensité physique    spécifique est inversement proportionnelle au carré de la distance de la source de cette quantité physique:
* La loi du carré inverse en physique est n’importe quelle loi statuant qu’une quantité physique ou intensité est inversement proportionnelle à la distance de la source de cette quantité physique. La cause fondamentale de cet effet peut être compris comme la dilution géométrique correspondant à une source ponctuelle de radiation dans l’espace tridimensionnel (en réalité selon un plan bi-dimensionnel perpendiculaire à la direction de vision).
Sur le schéma, S représente la source lumineuse tandis que r représente le point de mesure. Les lignes divergentes représentent le flux émanant de la source. Le nombre total de lignes de flux par fenêtre de perception dépend de l’intensité de la source (puissance de la lumière) et diminue avec
l’augmentation de la distance. La densité de lignes de flux est inversement proportionnelle au carré de la distance par rapport à la source car la fenêtre (surface de la sphère) augment en fonction du carré du rayon. C’est pourquoi l’intensité du champ est inversement proportionnelle au carré de la distance à partir de la source.

Par exemple, imaginons que vous soyez à 1 m d’une source lumineuse. Si vous doublez cette distance, vous obtenez une raréfaction avec le quart des rayons initiaux pour la même taille de fenêtre d’observation : l’intensité lumineuse est divisée par 4 car elle doit couvrir une surface 4 fois plus grande. Si vous triplez cette distance, l’intensité lumineuse couvrira neuf fois la zone initiale et ainsi de suite, si l’on quadruple r, I sera divisée par 16, si l’on quintuple, divisée par 25, etc…

Ok, c’est le principe pour lequel la lumière ne peut rester brillante à une distance infinie et cela s’applique également aux ondes radio.
Bien sûr, la NASA rêve que vous croyiez qu’ils peuvent transmettre à travers des milliards de milliards de milliards de km à partir d’un émetteur de 20 Watts sur un vaisseau spatial alors que 50 000 Watts au minimum sont nécessaires pour pouvoir émettre les ondes d’une radio AM et couvrir une ville. Cela n’a guère de sens et beaucoup de gens s’en rendent compte.

Application au soleil, aux planètes et aux étoiles
Continuons et parlons de notre soleil. C’est quelque chose que nous pouvons vérifier nous-même : nous voyons cette boule dans le ciel dont la résolution angulaire est d’environ 0,5 degrés soit la moitié d’un degré ; ce n’est pas très grand, semblable à la taille d’un frisbee dans notre ciel mais nous pouvons tous l’observer.
Ce que nous ne pouvons pas nécessairement observer ou trianguler, c’est sa distance, donc nous devons nous fier à ce que nous déclarent la NASA et les spécialistes officiels, alors examinons cela :

La première chose qu’ils affirment est que notre distance au soleil est de soit 8,317 minutes lumière.

Certes, il s’agit d’un grand nombre, qu’aucun de nous ne peut arriver à se représenter, mais cela fait partie de la stratégie : dérouter avec des stupidités énormes à défaut de savoir éblouir avec compétence. Ils affirment cette inimaginable distance et en voyageant à la vitesse de la lumière, celle du soleil prendrait un peu plus de 8 minutes pour enfin parvenir jusqu’à nous. Logique acceptable. Continuons.

Le diamètre du soleil
*distance du soleil : 149 597 870 km = 8,317 minutes-lumière (92,960,000 Miles) (demi-grand axe de l’orbite de la terre)
*Diamètre du soleil : 1 392 684 km (864,340 Miles)
*Luminosité du soleil (sur la Terre): 98 000 lux (lumens par mètre carré)

est de manière stupéfiante supérieur à 1 million de km, encore un nombre difficilement appréhensible mais c’est ce qu’on nous dit donc c’est à partir de ces données que nous allons réfléchir : nous allons comparer cela par rapport au reste du système solaire d’un point de vue de la luminosité mesurée sur Terre. Wikipedia donne sa mesure en lux, et un lux signifie la quantité de lumens par mètre carré.
Je vais vous donner une démonstration de ce à quoi correspondent ces chiffres afin que vous puissiez vous les figurer dans leur contexte.
En plein jour, et tout le monde a fait l’expérience de la lumière du jour, nous parlons de 98 000    lux mesurés sur Terre. On nous dit également que le soleil est juste une étoile de taille moyenne, donc ce n’est pas une étoile particulièrement grande, ni la plus grande, ni non plus la plus petite.
Donc avec ces quelques informations, nous allons faire de simples calculs, des mathématiques très, très simples.
Si nous parlons d’un soleil qui se trouve à 150 millions de km et nous savons que nous pouvons mesurer dans notre ciel le soleil d’une taille d’environ 1/2 degré. Donc d’après la loi de la proportionnalité inverse entre taille et distance, si nous doublions cette distance de 16 minutes-lumière, nous diminuerions la taille angulaire de moitié à 0,26 degrés.
Nous sommes en train d’essayer de réduire la taille du soleil en imaginant le résultat visuel si l’on augmentait sa distance. Si nous doublons encore la distance à 600 millions de km (32 minutes-lumière), c’est 0,13° que nous obtenons de taille angulaire (soit 1/4 de sa taille actuelle). Si nous doublons encore cette distance à 1,2 milliards de km (1h 4minutes-lumière), nous obtenons entre 0,05 et 0,06 degrés.
Maintenant, nous allons faire un petit exercice d’abstraction en comparant avec Saturne. Jetons un coup d’oeil au tableau suivant où sont classées les distances:

8          minutes-lumière    <=> 0,52 degrés de taille angulaire
16 0,26
32 0,13
1                heure-lumière 0,065

1,33      heure lumière 0,048 degrés de taille angulaire pour Saturne = distance de Saturne

2                heures-lumière 0,0325° (le soleil devient de plus en plus petit, pratiquement imperceptible)

(Attention: 0,016 degrés = 1 arcminute = 0,0003 Radians = résolution angulaire = Limite d’Acuité Visuelle )
(cela signifie que quelque chose de plus petit que 0,02 ° devient invisible pour nos yeux). Et avant que quiconque fasse remarquer qu’il peut y avoir des différences de luminosité, je tenais à préciser que 0,02° est notre limite de perception visuelle en taille.

4 0,01625 (Eloigné de seulement 4 années-lumière, le soleil a pratiquement disparu de notre capacité visuelle)

3,670,050,000 Miles (5 906 375 000 km) = distance moyenne de Pluton (Bien entendu, nous ne pouvons apercevoir Pluton à l’oeil nu car il se trouve en deçà des limites de nos yeux)

8 heures-lumière 0,008125 (Nous commençons à approcher de la taille des étoiles)

En à peine les 2/3 d’une journée (16 heures), le soleil serait 5 fois plus petit que notre limite d’acuité visuelle, 5 fois plus petit que ce que nous pouvons discerner avec nos yeux, s’il n’était pas brillant, bien entendu. Avec son éclat, le problème est un peu différent, nous allons le voir.

En effet, qu’en est-il de son intensité lumineuse ?
Sur Terre, l’intensité lumineuse du soleil est de 98,000 lux (lumens par mètre carré)
Vous savez, comme l’ont expérimenté Wendell et Shelley, à 1,5 ou 1,6 km de distance, on peut ne pas nécessairement distinguer la silhouette d’une bougie éteinte mais voir assez bien sa lumière si elle est allumée.
Pour autant, nous avons à prendre en considération que l’intensité lumineuse ne diminue pas proportionnellement avec la distance mais en fonction du carré de cette distance, donc elle diminue de manière drastique, je dirais même beaucoup plus vite que les tailles angulaires.
Nous allons donc regarder cela : il existe une formule très simple pour l’intensité solaire
La formule de l’intensité solaire est :
I = 1/ D2
Alors, j’ai mis au point un petit tableau et c’est plutôt cool car cela donne une idée de l’intensité du soleil e fonction de différentes distances de l’observateur

Planète Distance moyenne du soleil (AU) Intensité lumineuse relative
Mercure 0,387 6,68
Vénus 0,723 1,913 (le soleil serait presque 2 x plus brillant)
Terre 1,000 1,000 (la Terre serait notre référence de distance et de luminosité
Mars 1,524 0,431 (c’est-à-dire seulement 43% de la luminosité sur terre)
Jupiter 5,203 0,0369
Saturne 9,539 0,0110
Uranus
Neptune 30,060 0,00111
Pluton 39,439 0,00034


Cela est intéressant car lorsque nous regardons les images de Mars fournies par la NASA, ils nous le montrent presque aussi brillamment éclairé que sur terre, ce qui est invraisemblable car la loi du carré inverse nous prouve que cette luminosité doit être moins de la moitié que sur Terre, or ils ne semblent guère en tenir compte, n’est-ce-pas ?
Quand vous arrivez à Jupiter, la luminosité descend à 0,0369, soit seulement moins de 4%.
Et quand vous arrivez à Saturne, c’est devenu 0,011, soit 1% c’est-à-dire 100 fois plus faible que la brillance du soleil ici sur Terre.

Alors quel est mon but avec ceci ? Eh bien, quand on y réfléchit une seconde, si la lumière est 100 fois plus faible sur Saturne que ce que nous expérimentons ici sur Terre, qu’est-ce que cela signifie ?

Tout d’abord, il faut savoir que lorsque l’on parle de source de lumière ici sur Terre, vous savez quand ils nous donnent ce chiffre de 98 000 lux, il ne provient pas seulement de la lumière directe du soleil, mais on nous dit que cela vient aussi de la lumière diffuse, puisque manifestement, nous pouvons rester à l’ombre tout en recevant une luminosité très importante. Donc une grande partie de cette luminosité de 98 000 lux provient de la dispersion de la lumière. Il existe différentes théories sur ce mécanisme, mais selon l’explication officielle admise, elle proviendrait de sa diffusion à travers l’atmosphère. Donc, cette lumière diffuse combinée à la lumière directe du Soleil, cela nous donne les fameux 98 000 lux.

Quel est donc le problème ?
Puisque Saturne est 10 fois plus éloigné du Soleil que la Terre,
il reçoit sa lumière à une intensité d’ 1/100ème de celle reçue sur Terre (ce qui est très faible)
provenant d’un Soleil qui devrait apparaître d’une taille angulaire de 0,05° dans le ciel de Saturne (c’est-à-dire minuscule : 5 fois plus petit que notre acuité visuelle).
Pourtant, avec Saturne ayant un albedo de 0,50 (réflexivité d’une planète ; la terre par exemple a une certain albédo en raison de ses océans qui réfléchissent la lumière ; la lune aux grand albédo car elle reflète énormément de lumière ; …), quelque part, nous sommes capables de le voir briller puissamment dans notre ciel alors qu’il est censé se trouver à plus d’un milliard de km…! Hmmm…

Prenons en compte toutes ces considérations, si nous étions sur Saturne, nous distinguerions à peine le soleil parce qu’il apparaîtrait 10 fois plus petit qu’ici, il serait 100 fois plus sombre qu’ici, et pour autant, nous sommes capables de voir Saturne briller intensément à 1 milliard de km grâce à sa réflexion du soleil ? Maintenant, vous savez, la NASA a mis au point toute une série de calculs qui peuvent fonctionner, mais cela ne répond pas vraiment aux notions d’intensité lumineuse ponctuelle comparée à une dispersion de la lumière dans l’atmosphère, etc…
Donc c’est une chose à laquelle on doit réfléchir, si cela a réellement un sens qu’un objet très faiblement éclairé puisse à toute cette distance donner un point aussi lumineux, et nous le savons et pouvons le constater dans le ciel vraiment très brillant. En fait, l’apparence de Saturne dans le ciel ressemble fort à l’apparence que pourrait avoir le soleil lui-même à cette distance.
Nous allons regarder un petit tableau qui montre comment le soleil apparait sur d’autres planètes ; il a été composé par un site de scientifique grand public appelé myscienceacademy où ils montrent les images de ce à quoi cela ressemble:
Nous avons Mercure avec un soleil immense, très lumineux ;
Venus, où le disque solaire apparait encore un peu plus grand que sur terre avec un ensoleillement très intense ;
Puis Mars, plus petit et déjà normalement très sombre (c’est d’ailleurs intéressant    car surprenant d’obtenir de telles photos mais il est vrai que le soleil éclaire assez fort l’île canadienne de Devon qui est l’endroit où se situe réellement Mars, n’est-ce pas ?…rires);
puis nous regardons Jupiter et Saturne (1/100° de l’intensité et 1/10° de la taille) avec le petit vaisseau spatial    témoin qui est plongé dans une obscurité pratiquement totale ;
et en arrivant sur Pluton, ils disent que le soleil n’est plus visuellement qu’une étoile parmi les autres, avec même plus de lumière du jour, seulement une nuit continue.

Vous voyez, c’est fou, ils nous donnent ce genre de démonstrations et ils y sont obligés par un minimum de cohérence avec les distances supposées etc.., mais si le soleil, en 8 heures lumières (à savoir les 2/3 d’une journée) est trop petit en taille angulaire et trop sombre en intensité lumineuse, comment se fait-il que nous puissions distinguer les autres étoiles, vous savez bien que l’étoile la plus proche est Proxima Centauri à 4,4 années-lumières ? Je veux dire : il y a une énorme différence entre 8 heures-lumières et 4,4 années-lumière et rappelez-vous que notre soleil est une étoile de taille moyenne, ordinaire. Pourtant, ils affirment que nous voyons des étoiles à des dizaines, des centaines, des milliers, des dizaines de milliers, des centaines de milliers, des millions, des dizaines de millions, des centaines de millions, des milliards d’années-lumière et c’est juste absurde. Et la seule façon qu’ils aient de faire fonctionner leurs mathématiques est de rester assis à leur bureau et de nous dire par exemple que l’étoile polaire est censé être à 450 années-lumières puis bien-sûr ils ont changé et rectifié à 323 années-lumières avec une erreur de juste 130 années-lumières, en affirmant que Polaris est 4000 fois plus lumineux que notre soleil afin de rendre leurs calculs plus plausibles, parce que souvenez-vous, ils n’ont aucun moyen de mesure : il ne s’agit pour eux que de constructions mathématiques : personne ne s’est rendu sur place près de Polaris afin de mesurer réellement sa taille, sa luminosité ou sa distance. Pour autant, ils veulent nous faire croire que sans connaître aucune de ces données, ils sont capable de tout nous dire à ce sujet, ce qui est tout simplement absurde, ils ne peuvent tout simplement pas.

Donc c’était juste quelques petites considérations à réfléchir sur les étoiles, quand vous regardez le ciel étoilé et ce que cette observation simple implique sur la cohérence des distances, je veux dire, les notions d’années-lumières sont ridicules, franchement.

Considérations sur la taille de l’ISS
La deuxième notion dont je voudrais parler (j’en ai d’ailleurs déjà parlé plusieurs fois sur Globe-busters car je trouve cela plutôt amusant et incroyable que les gens arrivent à y croire vraiment) et la station spatiale internationale, l’ISS.
Le globe sur lequel nos adversaires aimeraient valider la légitimité de la NASA en pouvant dire des choses comme : « Je sais que l’ISS est réelle, puisque je l’ai absolument vue de mes propres yeux, elle est véritablement là et visible, vous ne pouvez pas le nier, nous pouvons en prendre des photos, elle existe, vous n’êtes que des idiots ! », ok ?
D’accord, je confirme, nous pouvons la voir. Il existe un site web où vous pouvez rechercher sa position, les moments où elle traversera le ciel au dessus de votre tête en fonction de votre localisation. Et vous pouvez regarder et l’observer, des gens la photographient, ok, d’accord, c’est génial.
Mais je voudrais juste que vous réfléchissiez un instant à quelques petits détails.
Voyons d’abord quelques faits à propos de l’ISS, que disent-ils, ce sont des données techniques ennuyeuses mais c’est intéressant:

*Longueur du module pressurisé: 73 m
*Longueur de « truss »: 109 m
*Longueur des panneaux solaires : 73 m
*Masse : 419,725 kg
*volume habitable : 388 m3 sans inclure les véhicules
*volume pressurisé : 916 m3
*avec de la vapeur expansée : 932 m3
*Puissance électrique : 8 panneaux solaires fournissent 75 à 90 kW de puissance
*Lignes de codes d’ordinateur : environ 2,3 millions

Bien entendu, il s’agit ici du projet d’ingénierie le plus génial et de la réalisation la plus incroyable de toute l’histoire de l’humanité et il n’y aurait pas la moindre photo ou vidéo de cette station en construction, pas une seule.
C’est vraiment suspect ou fou. Cela devrait inciter les gens à en tenir compte. Bien sûr les acteurs reviendront vous dire : oh non, nous les avons et ils vont réellement vous montrer des animations 3D à grande vitesse d’assemblage des modules et vous dire : « c’est notre documentation ».
Ok, si vous voulez le croire, c’est bien…
Alors passons à certains faits : ils nous disent que l’ISS    voyagerait autour de la Terre à une vitesse d’environ 28 000 km/h (17 500 MPH), et cela varierait de plus ou moins 500 km/h ( 3 ou 400 miles/h ), ce qui représenterait environ 8 km/s ( 5 miles par seconde)
Pensez maintenant à cette vitesse, les gars, cinq miles par seconde, 8 km en 1 seconde : c’est encore un de ces nombres absolument incompréhensible, en dehors de notre champ d’expérimentation courante.
Ok, ils disent ensuite que la taille de l’ISS est à peu près équivalente à celle d’un terrain de football ou d’un boing 747. Nous allons ensuite nous concentrer sur la taille angulaire.
La hauteur orbitale de l’ISS est de 410 km (254 miles). Tout d’abord, il est impossible de distinguer un tel objet à 410 km d’altitude. Pourquoi ? Parce que sa taille angulaire serait de 50 secondes d’arc et rappelez-vous, notre limite d’acuité visuelle n’est que de 60 secondes d’arc (60 arcsec = 1 arcmin = 1 soixantième de ° sachant que le soleil ou la lune ont un diamètre apparent sur terre de 0,5 ° = 30 arcmin = 1800 arcsec ). Donc ils s’appuient principalement sur le fait que, l’objet étant supposé refléter la lumière du soleil vers nous, ce serait cette intensité lumineuse qui nous le rendrait visible.
Bien entendu, la majeure partie visible de la station est représentée par les panneaux solaires. Ils sont énormes, disproportionnés, cela ressemble véritablement à un concept très farfelu de design d’ingénierie, mais passons, ces panneaux solaires sont conçus pour collecter la lumière, l’absorber au maximum et non la réfléchir.
Il n’y a pas d’éclairage extérieur, n’est-ce pas, à moins que les astronautes n’aillent nager à l’extérieur, je veux dire faire une sortie dans l’espace, où ils se muniraient d’un éclairage, mais à part cela, la station n’est pas allumée car cela dépenserait une énergie précieuse inutile, ils ne veulent pas brûler leurs réserves d’énergie.
Donc comme je l’ai dit, la taille angulaire de l’ISS est au maximum de 50 secondes d’arc quand elle est au zénith directement au dessus    de nos têtes à 410 km d’altitude, ce qui est bien sûr au delà de notre limite d’acuité visuelle.
Et encore, ce serait généreux de dire cela car en fait, ce n’est pas un objet volumineux perceptible facilement car les bras sont proportionnellement minces et peuvent s’orienter différemment, donc attribuer à la station 50 secondes d’arc est vraiment très conciliant à bien des égards.

Si nous récapitulons :
*L’ISS tourne autour de la terre à une vitesse de plus de    27 000 km/h (17000 MPH)
*La taille de L’ISS est à peu près équivalente à celle d’un terrain de football ou d’un Boing 747
*La hauteur de l’orbite de l’ISS est de 410 km d’altitude
*La majeure partie de la surface visible est représentée par les panneaux solaires
*Les panneaux solaires sont conçus pour absorber la lumière et non pour la réfléchir
*Il n’y a pas d’éclairage extérieur de l’ISS
*La taille angulaire de l’ISS est au maximum de 50 secondes d’arc au zénith (distance la plus courte) alors que l’acuité visuelle est de minimum 60 secondes d’arc

Ce qui devient maintenant intéressant est de compiler toutes ces données avec le simple bon sens, sans même avoir besoin de calculs compliqués.
Il existe un site web à cette adresse http://spotthestation.nasa.gov qui vous permet en inscrivant votre emplacement ou votre code postal de vous dire quand l’ISS passera au dessus de vos têtes, quand elle va apparaître dans votre ciel, combien de temps elle va rester dans votre champ visuel ainsi que quand et où elle va disparaître : ce site vous dit tout ce que vous devez savoir pour pouvoir repérer ce point lumineux de l’ISS dans le ciel.
Donc les durées typiques de transit sont, et cela dépend de l’endroit où vous vous trouvez et si le temps est plus ou moins humide, de 2 à 8 minutes, ce qui représente une durée de visibilité assez conséquente, surtout si vous considérez qu’à 8 km par seconde (rappelez-vous cette vitesse inimaginable), cela signifie que vous pouvez l’observer sur une distance parcourue allant de 900 km à 3 800 km, et si l’on ajoute l’altitude de 400 km, un total d’environ 4000 km pour un objet qui est de la taille d’un avion 747, ce qui semble de plus en plus ridicule.

Si nous récapitulons :
*http://spotthestation.nasa.gov/
*Ce site vous permet de trouver où et quand l’ISS va traverser votre ciel
*Les durées typiques de transit sont de 2 )à 8 minutes
*A une vitesse de 8 km/s, cela correspond à une distance parcourue de 900 à 3800 km (600-2400 miles)
* en ajoutant les 400 km de distance, on obtient plus de 4000 km, soit la largeur complète des Etats-Unis
*L’ISS est censée réfléchir la lumière du soleil par en dessous, soit sous l’horizontale passant par nos yeux

Donc la science compte sur vous pour que vous pensiez que vous pouvez distinguer la station en raison de sa luminosité. Ils disent bien sûr que lorsque vous avez l’ISS se déplaçant au dessus de l’horizon, c’est généralement juste après le coucher du soleil ou juste avant son lever où typiquement l’ISS se trouve éclairé par en dessous par un soleil se trouvant en dessous de la ligne de l’horizon. C’est la théorie. Il parait que certains sites sur le web affirmeraient que l’ISS pourrait être aperçue à n’importe quelle heure de la nuit, ce qui est logiquement impossible, mais je n’ai pas vérifié ces allégations.
En revanche, ce que je vais montrer ici, tourné à partir d’images amateurs, afin que personne ne puisse m’accuser de complicité, ce sont donc des vidéos que l’on peut trouver sur youtube de personnes qui ont enregistré le passage de l’ISS et nous allons pouvoir observer cela pendant une minute. C’est intéressant quand on y réfléchit sérieusement. Je ne sais pas si certains d’entre vous ont déjà été témoins d’un passage de l’ISS au dessus de vous, si ce n’est pas le cas, vous pouvez tenter l’expérience et vérifier que cela ressemble à ce visionnage pris sur youtube.
Quand vous regardez cette représentation, pensez à cet objet supposé aller à 8 km/s, soit 10 fois la vitesse d’une balle de fusil, ce qui est manifestement ridicule. Mais la seconde chose qui m’a frappé est le fait que ce point lumineux traverse le ciel entier sans jamais changer de luminosité ni de taille angulaire.
Je vais vous poser une question : combien parmi vous ont déjà essayé de communiquer à distance par le biais de miroirs réflecteurs du soleil ? Si vous avez déjà tenté l’expérience, vous savez qu’il est un peu fastidieux de tenter d’orienter le reflet sur l’observateur en faisant bouger l’angle du miroir.
Pour souligner cette difficulté, je voudrais vous montrer l’exemple de cette vidéo de 400 personnes alignées sur une largeur correspondant à la longueur d’un boing 747 le long d’une falaise en Angleterre et qui tentent de jouer aux miroirs afin de chercher à faire refléter le signal vers l’Europe, de l’autre côté de la Manche, comme pour lancer un SOS pro-européen, à l’aide de miroirs de différentes tailles.
Ce cas concret devrait nous faire réfléchir. De fait, comme vous avez pu le constater, alors que ces personnes cherchaient intentionnellement à renvoyer la lumière, on ne distinguait que quelques flashs éparses ici et là. En d’autres termes, ce que je veux dire est qu’il faut un angle tellement spécifique pour que le signal soit reçu - la géométrie l’exige - pour que la lumière flash directement dans votre direction que vous devez vous poser la question pourquoi le même phénomène n’est pas observé sur le reflet de l’ISS.
En effet, si l’ISS n’est à une altitude de seulement 3% des 12 742 km (7918 miles ), comment se fait-il que le soleil atteigne l’ISS avec l’angle adapté pour exactement refléter sa lumière dans vos yeux, et ce, de manière continue ? Comment l’ISS parviendrait-elle à adapter cet angle parfaitement au fur et à mesure de son déplacement, tout en tournant à la vitesse hallucinante de    8 km/s sur une distance de 4 000 km, et encore une fois, elle ne semble jamais changer de taille ni de luminosité ? Un autre problème est bien sûr qu’en même temps que vous regardez l’ISS, comment se fait-il que cela puisse marcher aussi pour cibler l’oeil d’un autre observateur situé à l’autre bout de votre ville ou de votre région avec l’angle qui devrait simultanément être différent afin de s’ajuster à cette autre direction ? La magie de la réfraction et de la gravité ?…
Voyez, tout le monde devrait voir le problème ici : ce n’est absolument pas possible qu’une chose pareille puisse se produire. Et les gens qui affirment avoir vu l’ISS n’ont évidemment pas pensé aux inévitables implications optiques et géométriques telles que celles-ci. Cela prouve sans équivoque qu’il s’agit d’une fraude. Cela signifie également cette autre improbabilité : si l’ISS est censée traverser une distance de 4000 km, soit l’équivalent de toute la largeur des USA, comment se fait-il qu’elle ne soit visible qu’à seulement certaines plages horaires ? Comment se fait-il, si moi en tant qu’observateur, je puis voir sur une distance de 4000 km, cela ne soit pas visible également de l’ensemble des Etats-Unis ?

Posez-vous des questions ! Pensez de manière critique ! Ne soyez pas crédule ! Demandez à la NASA, le comment, le principe de fonctionnement !
Et la réponse, bien sûr, vous l’avez devinée, c’est impossible, cela ne peut pas se produire logiquement.


Considérations à propos de la lune
Encore une chose, et je voudrais revenir à la loi du carré inverse par rapport à la lune.

Vous rappelez-vous de cette fameuse loi du carré inverse pour la lumière dont nous avons parlé au début ? Faisons donc maintenant le test pour la lumière lunaire visible ici sur terre.
Wikipedia et d’autres sources officielles semblent avoir un éventail plutôt large sur la définition de l’intensité de la lumière lunaire. Mais accordons à la ‘science’ le bénéfice du doute et utilisons la valeur la plus faible de l’intensité du clair de lune, qui est celle donnée par Wikipedia.
Je veux dire par là que certaines sources donnent une valeur de 0,1 Lux (Wikipedia) et d’autres vont jusqu’à 1 Lux (1 Lux = 1 Lumen / mètre carré). Mais cela n’a guère d’importance par rapport à ce que je vais vous montrer.
Il y a un tout petit peu de maths ici, mais ne vous en faites pas, nous allons utiliser une calculatrice ;-)
Je donnerai ici les chiffres mais vous pouvez facilement les vérifier vous-mêmes avec la loi du carré inverse.
La luminosité d’une bougie est par étalonnage de 12,7 Lumens/pied 2.
Je voudrais, afin que vous ayez un ordre d’idée, vous montrer ma lampe de poche, assez puissante de 6500 Lumens, ce qui est assez brillant (et correspond à ce qui est mesuré à 1 mètre de distance, ce qui signifie que la luminosité est bien inférieure à plusieurs mètres de distance).

Si nous récapitulons :
* Selon wikipedia, l’intensité de la lumière lunaire est de 0,1 Lux
*Le Lux est unité SI (système International ) de la luminosité, équivalente à 1 Lumen/ mètre carré.
*La lumière d’une bougie =12,7 Lumens/ pied2
*La distance moyenne à la lune est de 384,402 km (238,856 Miles).
*La formule pour déterminer la luminosité utilise la loi du carré inverse de la distance :
E2 = ( (d1/d2)^2 x E1 ) -          valeurs en mètres
où d1 = distance de mesure de départ (à la surface de la terre)
où d2 = nouvelle mesure de distance ( surface de la lune)
où E1 = mesure de départ (en Lux)
Introduisons les chiffres !
D1 = 384 402 000 m
E1 = 0,1 Lux
D2 = 1m

Donc si nous considérons ce petit 0,1 Lux ou lumen et que nous calculons le carré inverse, la réponse est… vous êtes prêts ? :

1,47 x10^16, soit 14,7 millions de milliards de Lumens : exactement 14 776 489 760 400 000 Lumens !!!! (note1)

Il n’existe rien d’aussi brillant dans le système solaire ! Et les maths ne se trompent pas, on peut essayer de les triturer, de remettre en question les conditions, mais je suis désolé, cela ne marche pas, c’est tout simplement impossible.
Qu’est-ce que cela prouve ?
Et bien tout d’abord, cela prouve que l’homme n’est jamais allé sur la lune parce que ce serait juste ridicule, les astronautes auraient été évaporés avec une telle intensité.
Ensuite, la deuxième chose que cela prouve, c’est que la lune ne réfléchit pas la lumière du soleil. Quoiqu’il se passe là-haut, la lune est clairement à l’origine de sa propre lumière et ce n’est certainement pas une luminosité de 14 millions de milliards de lumens.

(note1) Selon le wikipedia en français https://fr.wikipedia.org/wiki/Clair_de_lune, la luminosité de la lune est de 0,2 lux.
Le calcul serait donc de 2,95 millions de milliards de lumens, 2.95.10^16 soit exactement : 29 552 979 520 800 000 lumens !!!
Puis  une autre estimation est donnée plus loin dans l’article pour les zones de latitudes tropicales de 1 lux. Donc on aurait 1,47.10^17 lumens soit  147 764 897 604 000 000 Lumens !!! Ce qui est 10 fois pire encore ; mais cela ne change rien même à quelques unités près concernant la terrible énergie dégagée par la Lune à sa surface rendant absolument impossible la moindre expédition lunaire (et là, on ne tient même pas compte, dans le modèle copernicien ou einsteinien du vent solaire ni des radiations dites cosmiques au-delà de l’atmosphère terrestre qui sont bien plus fortes et puissantes que la Lune).
Il faut donc se rendre à l’évidence : la lune est infiniment mois loin de la Terre. Il s’agit donc de quelques milliers de kilomètres seulement avec un diamètre réel de quelques dizaines de kilomètres.
Il serait intéressant aussi de calculer la luminosité réelle du Soleil à sa surface sachant que sa magnitude selon les sources officielles est de l’ordre de -26 environ.
On a bien la vraie preuve scientifique de ce qui est est annoncé par l’écriture sainte que la Soleil et la Lune sont bien les deux luminaires respectifs du jour et de la nuit. Les planètes qui sont les astres errants, comme le dit la racine grecque pourraient bien être encore d’une autre nature que la Lune. Puis les étoiles encore d’une autre nature par rapport aux planètes. Et qui pourrait dire si tous ces astres pourrait chacun contenir leur propre espèce ou leur propre substance ?

Franravel

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