L'EGLISE DE SARDE (Apocalypse 3: 1-6) , LA CORRUPTION DE LA FOI ET LE GÉO-CENTRISME-TERRA-PLATISTE

(Nous tenons à insister sur le fait que l'auteur n'a aucune prétention à être théologien, mais veut seulement communiquer ce qu'il pense et ressent des événements actuels qui secouent le monde dans tous les domaines).


Nous nous inspirons ici de l’interprétation de l’Apocalypse par le bienheureux Bartholomé Holzhauser.
Il fait remonter le commencement du 5ème âge de l’Église la période du début du protestantisme environ, c’est à dire au plus tard à la condamnation d’excommunication de Luther le 3 janvier 1521. Cependant, étant donné l’éclosion des idées humanistes commençant à se révéler depuis la fin du règne de Louis XI en France, renforcée par un esprit gallican ou sécessionniste par rapport au pouvoir pontifical déjà en herbe avec les intrigues des empereurs d’Allemagne et de Philippe le Bel, même si cet esprit « pré-moderniste » fut éloigné un moment, grâce à l’intervention toute divine de Jeanne d’Arc en France, il nous semble au moins permis de penser que cette période commence une trentaine d’années avant, c’est à dire au moment de la libération définitive de la péninsule ibérique de l’islam, c’est à dire l’an 1492.


Une excellente compilation et étude a été faite en anglais par un auteur anonyme du nom de « Cantate Domino» dans la rubrique « The Earth Movers » dont ,on peut trouver un résumé sous le titre « Qui destabilisa la terre ? » https://www.cathinfo.com/fighting-errors-in-the-modern-world/the-earthmovers/570/.
Cet auteur apporte des preuves d’un certains nombre d’ecclésiastiques qui étaient déjà influencés par les idées hermétistes pythagoriciennes du Trismegiste d ’Herm. Ces érudits étaient aussi imprégnés des enseignements de l’école intellectuelle philosophique néo-platonicienne d’Alexandrie et certains professaient la pluralité des mondes et des idées gnostiques. Ces gens-là prônaient souterrainement l’hélio-centrisme ; Erasme faisit partie de ceux-là .
Martin Behaim (1459-1507) natif de Nuremberg, géographe et humaniste, était très engagé dans l’affirmation de la terre comme étant un globe, et s’opposait à ceux qui, même s’ils croyaient que la terre était ronde, pensaient qu’elle n’était pas habitée aux antipodes ; rejoignant ainsi la pensée de St Augustin, entre autre sur cette question. En effet, à cette époque, la conception du globe était encore très controversée, et bon nombre d’érudits professeurs raisonnaient selon la conception ptoléméenne qu’à défaut que la terre soit plate, comme le pensaient les pères de l’Église, elle était au plus, dans les sens de la rotondité, incurvée en forme de calotte occupant une zone sur un corps rond, les astres tournant au dessus de cette surface. Martin Behaim aurait eu vraisemblablement des relations avec Christophe Collomb (1451/1452-1506), et autres grands navigateur portugais de l'époque comme Magellan (1480-1521) et Diogo Cão (1450-1486) et aurait accompagné ce dernier dans certaines de ses expéditions vers la côte occidentale de l'Afrique et certaines îles de l'Océan Atlantique. De plus, il fut hébergé à la cour des princes du Portugal et d’Espagne et exerça une influence non négligeable auprès de ces derniers malgré leur implication indéniable à lutter contre les faux convertis que l’on dénommait  « marranes » , du Judaïsme et le de l’Islam et que l’on trouvait subrepticement cachés parmi les « Conversos ». On découvre dans l’ouvrage consacré à Chistophe Collomb par Salvador de Madariaga y Rojo, ambassadeur d’Espagne en France, ancien ministre et grand érudit,que celui-ci aurait eu des appartenances kabbalistes ! Donc forcément teintées d’hermétisme et de gnose https://www.amazon.fr/Christophe-Colomb-Salvador-Madariaga/dp/2266047272 .
Quelques décennies après en 1543, sort juste après sa mort, le « de revolutionibus orbium coelestium » de Nicolas Copernic et on y découvre encore les multiples références positives de l’auteur à Hermès Trismégiste ou à Parascelse, puis ce sera Galilée, les deux dominicains Giordano Bruno avec Campanella qui professent la pluralité des mondes. On a vraiment l’impression que l’Église, dans le courant du XVIème siècle se réveille par surprise avec une prolifération de crypto hérétiques, non encore condamnés, en son sein, pendant que l’accadémie Lincei et la famille de Medicis sont littéralement plongés dans les nouvelles idées faisant resurgir la civilisation païenne gréco-romaine à Florence. Galilée trouve du soutien auprès des jésuites Foscarini et Castelli. Le pape Urbain VIII, pourtant lié d’amitié avec Galilée demeure catastrophé devant l’affirmation de celui-ci à remettre en cause la véracité de l’écriture sainte ; il s’écrie que l’on assiste à un changement de paradigme du monde propre qui est entrain de bouleverser la Foi des fidèles. Galilée est certes condamné par le magistère solennel en 1616, puis réitéré en 1631, mais l’infiltration en cours n’est pas stoppée pour autant puisqu’en 1741, sous le pontificat de Benoit XIV, les écrits de Copernic et de Galilée pourtant mis à l’index jusqu’ici, sont réhabilités.
C’est ainsi qu’une école intellectuelle certes informelle va travailler habilement dans l’ombre de l’autorité ecclésiastique pour « réessayer Galilée » comme ses membres aimaient à le professer.
Les esprits les plus avant-gardistes vont même jusqu’à remettre en cause l’infaillibilité du magistère solennel en considérant qu’il s’est trompé dans la condamnation de Copernic et de Galilée, et va même , à titre posthume « faire repentir » le magistère solennel d’une telle « erreur ».
On sait, pour tout catholique de foi, qu’une telle démarche est impossible puisque quand le magistère a déclaré sur une cause donnée, celle-ci est  finie : « Roma locuta est, Causa finita est ».
Après les bouleversements opérés par Napoléon dans toute l’Europe, et pour ce qui concerne l’Église le déménagement de toutes les archives vaticanes à Paris  avec l’ordre tout spécial intimé par l’Empereur de mettre absolument de côté tous les documents concernant l’affaire du procès de Galilée et de ses suites, Le père Olivari, dominicain acquis à la cause copernicienne, va réussir en 1820 à faire imposer l’imprimatur  par le pape Pie VII au livre du Chanoine Giuseppe Settele, autre copernicien, professeur de mathématiques et de physique, « Éléments d’optique et d’astronomie ».
On ne peut que voir, dans ce qui vient d’être brièvement évoqué, cette parole du verset 3:1 de l’apocalypse concernant les œuvres connue de Dieu, qui sont le nominalisme, l’hélio-centrisme, la gnose etc...lesquelles croissent dans l’Eglise vivante à côté de son magistère, lequel magistère semble agoniser par ces nouvelles idées qui avaient été pourtant refoulées dans le courant de l’Église de Pergame, connue sous l’Église du Moyen-Âge tant décrié par les historiens à partir de la 3ème République dite française. On assiste alors à une démission progressive des clercs par rapport à la défense de la foi. Ils se « mondanisent » de plus en plus, et certains n’hésitent pas à rentrer en franc-maçonnerie, pourtant condamnée plusieurs fois par Clément XII, pie IX et Léon XIII, à partir du XVIIIème siècle. C’est à un véritable attiédissement progressif auquel on assiste qui va, grâce à l’aide des modernistes prônant la liberté de conscience, rejoints par les tenants du « Sillon » de Marc Sangnier, inéluctablement concourir au concile Vatican II, malgré les multiples réponses des encycliques des papes qui font figure de repousser désespérément dans la défensive, un raz de marée d’hérésies semblant quasi inéluctable.



Effectivement, devant un tel raz de marée, il faut être vigilant, car les dangers sont de tous côtés. Le simple fidèle, s’il veut garder la Foi, ne peut se contenter de pratiquer régulièrement et observer sagement et filialement les commandements de l’Église comme ce fut le cas à l’époque de l’Église de Pergame. Il est obligé de méditer et d’étudier les écrits de la tradition des Pères de l’Église et de faire le travail pour lui-même que les prêtres officiels, dont le nombre ne cesse de diminuer, ne font plus dans leur ministère respectif. L’église qui pourtant par rapport au Credo est indéfectible, se trouve infestée par des clercs et des prêtres devenus véreux lesquels entraînent beaucoup de fidèles dans leur nouveau sillage. Ces personnes-là, et c’est là que se trouve le mystère que l’on pourrait attribuer aussi à celui de l’iniquité, même si certaines sont de bonne foi, sont quand-même dans l’erreur, et c’est pourquoi elles se trouvent avoir une apparence authentiquement catholique. On retrouve cela dans les tendances modernistes conservatrices représentées pas l’ex cardinal Ratzinger, Mgr Müller, le Cardinal Sarah, Mgr Athanaüsius Schneider, le Cardinal Burke etc... puis par les tendances traditionnalistes qui ont signé la convention « ecclesia dei » et reconnaissent Vatican II. L’idée de ces derniers se trouvent de plus en plus répandue dans la Fraternité St Pie X, à l’heure actuelle, qui pourtant a résisté longtemps au modernisme. Ainsi, on comprend ces paroles « je n’ai pas trouvé tes œuvres parfaites devant mon Dieu ».


L’auteur de l’Apocalypse insiste lourdement sur le retour et la garde de l’enseignement de l’Église et va jusqu’à accuser tout fidèle contemporain de l’Église de Sarde, de péché puisqu’il l’exhorte au repentir. Il lui rappelle l’enseignement authentique de l’Église, ce qui est la preuve qu’il s’y est passé quelque chose  d’exceptionnel. Cela a été déjà dit plus haut : le nominalisme, l’individualisme, le relativisme philosophique, l’évolutionnisme, le terraformisme (formation évolutive de la terre par superposition des couches géologiques sur des millions d’années_théorie de Lyell) et l’hélio-centrisme cosmographique se mutant en relativisme einsteinien, pourtant de plus en plus minimisé, constituent les piliers du modernisme dispensé sous l’idée noachide du nouvel ordre mondial annoncé par George Bush en 1991 et même déjà par HG Wells dans son livre « La destruction libératrice » publié au début de 20ème siècle. Le Concile Vatican 2 (ou plutôt Vatican d’Eux_les Francs-maçons, les Sionistes et les Illuminati) est la plate forme idéale de cette nouvelle Babylone venue prendre la place de Saint-Pierre comme il l’est annoncé dans les chapitres XVII et XVIII de l’Apocalypse, mais aussi dans le verset 5:13 de la première Épitre de Saint-Pierre.

Ces paroles ont un retentissement particulièrement grave, car comme il vient d’être évoqué que quelque chose d’exceptionnel que nous savons être le modernisme avec tous ses composants, s’est introduit dans l’Église, il est mis l’accent de l’obstination d’un grand nombre dans ce péché. La version définitive de du dernier message de la Salette en 1946 parle de papes vermoulus et douteux et de prêtres qui seront devenus des cloaques d’impuretés. Il s’agit de non seulement de véritables adultères au sens propre du terme, mais ce qui est encore plus grave, d’adultères avec les fausses religions et les fausses doctrines corrompant un grand nombre. Dieu qui est amour ne peut tolérer plus longtemps que ses fidèles restés en petit nombre puissent à leur tour sombrer dans le relativisme moderniste, c’est pourquoi il viendra comme un voleur. Ces propos pourraient s’interpréter comme s’adaptant à la description de la Fin du monde, mais étant donné qu’il y a encore deux âges de l’Église  à accomplir, c’est à dire celui de l’Église de  Philadelphie et celui de l’Église de Laodicé, il vaut mieux penser que la fin de l’Église de Sarde ressemblerait à une répétition générale de ce qui sera connu lors de la Parousie. D’ailleurs la promesse de Notre-Dame de Fatima parlant d’un temps de paix et du triomphe de son Coeur immaculé avec la conversion de la Russie se prête bien à la description de l’Église de Philadelphie qui sera le rétablissement de la papauté et la vérité sur le complot des hélio-centristes, envers qui Notre-Dame se serait particulièrement adressés en faisant assister la foule réunie à Fatima le 13 mai 1917 au miracle de la danse du Soleil.
Tout donc va dans le sens qu’il va se passer quelque chose de catastrophique pour changer les mentalités et les faire revenir dans le droit chemin. Les événements actuels de plus plus préoccupants, la main mise de plus en plus carcérale, idéologiquement parlant du sionisme et des banques, les attaques de tous côtés contre la vie, famille, la santé, l’agriculture, l’esthétique des arts, le transgénisme, le « Blue-Beam (le rayon bleu) etc... nous incitent à présumer que ce système s’effondrera un jour ou l’autre, et cela dans un fracas inimaginable. Serait-ce la 3ème guerre mondiale annoncée ? Ce sera certainement, en tous cas, la fin de la période de l’Église de Sarde.


Comme les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre l’Église, il demeurera jusqu’à la parousie un petit nombre qui maintiendra la vérité. Ce petit nombre souffrira bien des persécutions et persévérera malgré les graves injustices, les insultes, les railleries, les mépris et les calomnies. Le sujet de l’hélio-centrisme muté en relativisme einsteinien avec son corollaire l’évolutionnisme, ces deux piliers, comme il a été dit plus haut constituant le marche pied du prince de ce monde lucifer-satan, comme la Terre (fixe) est le marche pied de Dieu, est le cheval de bataille n°1 du modernisme. Il est un autre cheval de bataille de loin non négligeable et qui sert de nouvelle transcendance au sionisme relativiste pour faire pendant au sacrifice du christ au Calvaire, c’est le mythe de la Shoah avec les chambres à gaz hommicides du régime national-socialiste allemand.
Tous ces mauvais enseignements qui sont en plus mensongers, contribuent à souiller les vêtements de ceux qui veulent rester catholiques mais se laissent plus moins subvertir par ces derniers en cherchant à concilier deux paradigmes qui sont absolument incompatibles. Comme le dit Mgr Gaume dans le « Traité du Saint-Esprit », Satan a lui aussi ses prêtres, ses princes ses corporations, ses séminaires, ses écoles etc... qui singent les fondements de la création de Dieu en donnant l’illusion d’en créer une autre et de promettre à son tour que l’homme pourrait devenir aussi un dieu. Le libéralisme est une attitude apparemment « merveilleuse » pour concilier les inconciliables et le viol du principe thomiste scholastique d’identité en vigueur pendant tout le Moyen Âge « ce qui est est , ce qui n’est pas n’est pas », est particulièrement recommandé par tous ceux qui se réclament des philosophies personnalistes allemandes de Kant et de Hegel.
Celui qui veut donc garder le véritable enseignement n’a pas d’autres choix que de se parer de vêtements blancs et donc de s’extraire de l’esprit du monde. C’est une chose bien difficile à réaliser surtout quand on a beaucoup d’attaches, c’est pourquoi, il est dit que ceux-là, par leur dignité marcheront avec le Roi-Verbe-Incarné.



Il est certainement fait référence à l’évangile du maître du banquet qui reçoit tous ceux qui ont été réunis sur les chemins et dans les carrefours, après qu’à deux reprises ses messagers aient été massacrés et tués par les mauvais vignerons. Nul ne pourra rentrer au royaume de cieux s’il n’est paré de ces mêmes vêtements blancs. On le voit aussitôt à la condamnation de celui qui s’était introduit sans porter le costume de circonstance. Le maître ne lui laisse même pas le choix de quitter momentanément la salle du banquet pour aller se changer et revenir pour jouir avec les autres. Il est trop tard, le jugement a déjà eu lieu. Il est pris pieds et poings liés et jeté dans les ténèbres extérieures. C’est pour nous montrer que la malice de l’homme peut feindre la vérité en entretenant la façade mais en y insinuant des hérésies à l’intérieur, dans l’illusion que le maître ne les verra pas. Mais c’est sans mesurer la grandeur de Dieu de qui on ne se moque pas et que l’on a minimisé en lui substituant un dieu plérôme Grand-Tout et panthéiste dont le Dieu-Trinitaire est ramené à la vassalité. Ce sont les idées noachides du Rabbin Elie Benamozegh qui nous parle d’un catholicisme hébraïsé avec un sacerdoce valable que pour les Juifs et le Christ ramené à un prophète exceptionnel ou pas, selon qu’il en semble aux adeptes de cette nouvelle religion universelle. Quel horrible blasphème , et voilà que la substitution de la deuxième alliance est abolie! C’est ignoble !  Il est question aussi d’un témoignage aux yeux des hommes qu’il faut faire sur Terre de peur que, dans l’absence de celui-ci de notre part,  cela soit Dieu qui le fasse lui-même à notre place le jour du jugement général. Ce sont tout les procédés occultes qu’ont utilisé les gnostiques, les kabbalistes puis plus tard les modernistes, comme l’ont si bien décrit Étienne Couvert et Alain Pascal dans leurs ouvrages consacrés à la gnose. C’est donc de la récompense finale dont il s’agit. Elle est sans comparaisons avec les épreuves subies au moment si grandes soient-elles. Les mauvais vignerons, la première fois représentent les Juifs qui refusent de reconnaître les prophètes de l’ancien testament, et la deuxième fois les chrétiens qui se sont laissés entraîner dans les idées du monde et ont même réintroduit des principes de la la première alliance en dépit des avertissements de l’Église (cf St jean Chrisostôme) comme dans certaines communautés charismatiques du Lion de Judas, et on assimilé aussi des directives kabbalistes plus ou moins consciemment.
Pour finir, s’il y ait annoncé qu’il y a un livre de vie, c’est à dire un livre dans lequel est inscrit tous les noms des élus, il est permis de penser que satan a créé aussi son livre de mort. Comme il est curieux d’évoquer les théories existentialistes de Jean Paul Sartre où il affirme que nul n’existe s’il ne se concrétise par des actions reconnues. C’est donc l’apologie de la vertu de l’action. Emmanuel Macron, ne sortait-il pas, il y a quelque temps, qu’il y avait des personnes qui n’étaient rien ? Rien par rapport à quoi ? l’économie ? La richesse ? La croissance ? La réussite ? Le Monde ?
Les sociétés d’aujourd’hui sont complètement imbues de la vertu par l’action et ne reconnaissent rien d’autre que ce qui est garanti par les canons officiels de ce que l’on appelle le politiquement correct ou l’historiquement correct ou encore le scientifiquement correct. Elles ont leur livre d’élu, mais ce livre, c’est satan qui en est l’éditeur.  C’est le livre de ceux qui croient en l’homme et en la créature, croient qu’ils pourront voyager dans l’espace par la NASA et autres agences spatiales pour atteindre le ciel ou de ce qu’ils en imaginent par eux-mêmes aveuglés par leur illusion, et méprisent en même temps le mystère de Dieu fait homme pour la rémission des péchés. C’est donc le livre de l’enfer.
Gare donc à celui qui s’écarte de ces nouveaux principes ; malheur à lui en ce monde mais bonheur éternel pour lui dans ce qui été promis par le Fils de l’Homme.
En attendant, comme le dit un des nos amis catholiques français terra-platiste, la reconnaissance humble d’une terre plate fixe aide spirituellement à recouvrer la sérénité dans la vie intérieure.


(Ecrit au 102ème anniversaire de la danse du Soleil à Fatima 13-10-2019)